L'ALIENATION… C'EST LA PERTE DE SOI MÊME

( K. Marx )










Nous naissons faibles, nous avons besoin de force

Nous naissons dépourvus de tout, nous avons besoin d'assistance

Nous naissons stupides, nous avons besoin de jugement. 

Tout ce que nous n'avons pas à notre naissance et dont nous avons besoin étant grands, nous est donné par l'éducation. 
( J.J Rousseau Emile ou De l'Education )



                
Ce blog a pour but de rendre publique la totalité des faits et des écrits (  décisions JAF et en APPEL , expertises psychologiques,  attestations … )  qui ont abouti a une situation traumatisante pour mon fils Miguel ,  ainsi que tout sorte de document qui permettra de comprendre la nature du phénomène de l'aliénation parentale 

                                                                  nuagemortel@gmail.fr











1-"NUAGE MORTEL ! ?
( mot de passe vers un avenir plein d'horreur )

2-Lettre ouverte au Juge des Enfants , Monsieur DE NAEYERS
( petit rappel historique a un Juge qui refuse obstinément de regarder le passé )


3- lettre au responsable AEMO de Miguel 

envoyé avec accusé de réception le 1 avril 2015 

4- UN PARENT DE TROP !


5-   PRECISIONS SUR  L'ALIENATION PARENTALE 



6 - UN ENFANT EN DANGER , UN ENFANT SOLDAT , UN ENFANT A LA DERIVE (Mai 2015 , quelques jours devant le Palais de Justice ) 





*-Communiqués SOS PAPA


*-Intervention au Journal LA MONTAGNE de l"avocat de la mère 

*- le journal LA MONTAGNE ne m'ayant pas donné le droit de réponse  j'ajoute ici même quelques éléments de réponse    



*-NOTE DE LIAISON AU JUGE DE NAEYERS DE POINT RENCONTRE ARAMIS (8/10/2015)


*- RAPPORT A.E.M.O. (25 / 10 / 2015)




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( photo de la première rencontre avec mon fils : Miguel m'a toujours demande de lui montrer cette photo  )




    1-"NUAGE MORTEL ! ?     

( mot de passe vers un avenir plein d'horreur )




Entre 2 et 3 ans j'ai pu amener pour les vacances Miguel chez moi au Pays Basque.

Dans son petit sac à dos , que sa mère lui préparait avec quelques habits , il y avait deux petites boites avec une image dans chaque boite. 

Sa mère lui téléphonait trois ou quatre fois par jour. 

Au  dernier appel de la journée sa mère lui rappelait les boites que Miguel ouvrait et donnait le nom d'un des dessins contenus dans une des boites 

C'est plus d'un an plus tard que j'ai pu comprendre le sens de ce jeu imposé par la mère. 

Plus tard à la fin des conversations téléphoniques au lieu des boites Miguel devait donner a la mère un "mot de passe". Sans besoin d'ouvrir une boite Miguel donnait un mot de passe, toujours le même. 

Je trouve cela étrange, mais  je ne voulais pas interroger mon fils du pourquoi de ce mot de passe 

S'agit-il d'une manière originale de sa mère de lui demander s'il l' aime , et pour Miguel de dire a sa mère son amour ? 

Alors que sa mère m'avait empêché de voir Miguel pendant 7 mois  ce fut pendant les vacances d'août de ses 4 ans et demi  que j'ai compris 


On avait passé la journée à la plage où Miguel s'éclatait en jouant à se faire peur avec le ressac des vagues.  
Pour finir la journée , Il voulait  qu'on fasse du vélo.

J'aurais pu ne pas accepter sa demande , mais je pense qu'un enfant devient libre en connaissant par lui même ses limites physiques.

Bien évidement  l'heure du vélo qui a suivie ses quatre heures à se jeter contre les vagues ont eu raison des forces de Miguel : il était donc assez fatigué … 

Alors que je venais de l'installer dans ma voiture,  sa mère a téléphoné  

Comme tous les jours , j'ai passé le portable à mon fils 

A la fin d'une courte conversation la mère lui a demandé le mot de passe 

Pour la première fois Miguel a donné un mot de passe  : NUAGE MORTEL 

Des qu'elle a entendu ce mot de passe  sa mère a commencé a m'insulter copieusement avec toute la vulgarité donc elle est capable 

Miguel a éclaté en sanglots 
Avec sa fatigue,  les cris de sa mère comme conséquence du mot de passe qu'il lui a donné, ont plongé l'enfant dans une détresse indicible. Avec ses sanglots et les larmes qui coulent à grand flots Miguel avait le visage déformé par la douleur . 

J'ai pleuré a mon tour 

Voir un enfant plongé dans une telle détresse , même s'il n'est pas votre enfant , ne peut que vous plonger vous même dans la détresse . 

Depuis que j'ai été témoin du supplice de mon frère Oscar sous les coups de notre mère; je n'ai jamais pu supporter les pleurs des enfants. Leur stridence rentre au plus profond de mon âme jusqu'à la blesser  


Un mot de passe pour un pilotage à distance.

Voilà pourquoi Miguel a eu à donner un mot de passe à sa mère .


NUAGE MORTEL !

En définitive , elle avait bien trouvé

Dès sa naissance un nuage mortel s'est abattu sur cet enfant .





" M… dit qu'il a des secrets avec son père, qu'il fait des cauchemars, que son père lui touche le zizi ou qu'il lui met le zizi dans les fesses " 

déclarations de la mère de M… au cours d'une expertise psychologique réalisé en mars 2008 , a la demande de la mère , par Pouget-Talbot Nadège (psychologue expert prés la Cour d'Appel de Riom )

Déclarations concomitantes de 7 mois de Non Representation d'enfant , donc les Plaintes furent mise aux oubliettes du TGI de Clermont-Ferrand sans que je ne soit jamais avisé 
















Najat Vallaud-Belkacem a déclaré :


"Nous faisons confiance au juge pour apprécier l'intérêt supérieur de l'enfant.  Ne lui imposons pas de règles systématiques."












Hubert et Jan van Eyck 
Panneau des Juges intègres 1432 Ce panneau a été volé, et l’original n’a jamais été retrouvé. Il y a une histoire autour de ce vol ( histoire vraie, pas celle de La chute ! ) : un sacristain de la cathédrale a avoué qu’il l’avait volé car il ne supportait pas de voir des juges à côté de l’Agneau. Il a avoué à un prêtre en confession , pas à la police. Il a promis de révéler la cachette lors de son extrême onction le jour de sa mort. Mais quand il voulut parler, il ne put plus et mourut, emportant avec lui son secret. )



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Un fils  !

Un enfant !

Quoi de plus enthousiasmant ?

Avoir un fils à 56 ans …

Une paternité que je n'avais pas voulue

Une paternité que j'ai assumée avec plaisir, sans hésiter 

10 ans.


Dix ans des manipulations

Dix ans des mensonges

Dix ans d'affabulation

Dix ans des fausses allégations


Des potins et des préjugés idéologiques  guidant les pas d'une enquête sociale
Madame Joëlle BOUCHARD

Un pédopsychiatre… et ses certificats 
Docteur DIDIERLAURENT 

                             

Une expertise psychologique en 2008 
Madame  TALBOT 

Une psychologue "clinicienne"… et ses certificats     
Madame TALBOT  


une autre expertise en 2014
 Monsieur Tony TURPIN 

Des Non Représentations d'Enfant en cascade

Des innombrables affabulations … 

Des allégations d'abus sexuel

Des allégations de violence

La souffrance indicible d'un enfant

Celle d'un père qui regarde et sent son fils en souffrance

Des décisions JAF toujours en adéquation avec mes demandes , mais  la partialité  au bénéfice de la mère.



Juges  = JAF 

Christophe RUIN

Mélanie JALICOT

Caroline CABANON

Jean-Marc HOUÉE

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Juges  = APPEL 

Anne CONSTANT


conseillers : Nöel PICCO et Francois MALLET 

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Juge des Enfants = Monsieur F. DE NAEYERS 

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La dernière fois que j'ai passé du temps avec mon fils Miguel  fut en décembre 2011
Ici juillet 2011 dans la "Dune du Pilat" avec des amies et ses filles



2-Lettre ouverte au Juge des Enfants , Monsieur DE NAEYERS

le 19 Mars 2015)



HALTE A L'ALIENATION DE MON FILS
lundi 23 mars et jusqu'au vendredi 27 je serais devant le TGI de Clermont Ferrand pour réaliser un jeûne de protestation.
Je resterais sur la Place de L'Etoile toute la journée et la nuit.
La lecture de la Lettre ouverte au Juge des Enfants que je reproduit dans mon blog vous informera du pourquoi .
Merci pour vos soutiens 











HASPARREN , le 19 Mars 2015

Lettre ouverte au Juge des Enfants , Monsieur DE NAEYERS 

(  Petit rappel historique a un Juge qui refuse obstinément de regarder le passé )

Monsieur le Juge , 

Dès le début des relations épisodiques avec la mère de mon fils, j’avais bien spécifié à cette dernière que je ne voulais pas être à nouveau père. Invoquant des troubles hormonaux, elle m’avait assuré qu’il lui était impossible d’enfanter. Au bout de trois mois, elle tomba quand même enceinte et elle m’assura qu’elle allait avorter. Trois jours après la certitude de sa grossesse par analyses de sang, dans un laconique mot laissé (« Je ne sais pas où j’en suis »), Madame retournait vivre chez sa mère. Trois mois plus tard, elle m’assurait qu’elle avait avorté. Néanmoins, l’enfant est né au mois d’août.

L’enfant étant là, n’ignorant plus rien des troubles psychologiques de la mère, même si j’étais loin d’en peser la gravité, mu par une réelle envie d’être le père d’un enfant faussement abandonné, je décidai de déclarer (en janvier 2005) ma paternité en mairie de Clermont-Ferrand, au vu des empêchements de la mère, en l’assumant par le biais d’une assignation au JAF au mois de mai 2005.

Je suis à même d’expliquer comment j’ai eu connaissance de l’existence de Miguel. Tout de suite après sa naissance, alors qu’elle n’avait nullement besoin de le faire, Madame X a fait un testament au profit de son fils dans une étude notariale. Il se trouve que je réalisais une vente dans ladite étude notariale. C’est par cette source, et d’une manière tout à fait involontaire, qu’une personne m’a informé de l’existence de l’enfant. Par la suite, j’ai réussis à connaître, par la même source, toutes les données sur sa naissance pour pouvoir m’adresser à la mairie afin de faire les démarches nécessaires.

Ce qui a permis de « délier » les langues, ce fut le fait que Madame avait clamé en public, dans les locaux de l’étude, que « l’enfant ne connaîtrait jamais son père ».
Ainsi donc, dès sa naissance, la mère de mon fils avait planifié pour cet enfant un destin sans père et un père autre que celui que je suis.
À l’heure actuelle, cet enfant a un père bien pire que celui qu’elle aurait pu inventer si je ne l’avais pas reconnu.
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Étant obligé de demander l’intervention de JAF afin de faire valoir mes droits paternels, dès ses premières écritures, elle refuse que je puisse voir l’enfant en dehors d’un lieu « neutre », demande que je sois privé de l’autorité paternelle et, entre autres, elle m’accuse d’être violent tout en affirmant qu’elle n’a jamais eu à souffrir de ma violence.

Dès 2005 et jusqu’aux dernières écritures (l’appel jugé en 2014), inlassablement, elle affirma que je suis un militant ayant des liens avec l’organisation ETA, que je suis violent et mauvais père.
Pendant dix ans elle a porté la même accusation ; évidemment, toute volonté de me nuire étant absente…

Une décision d’un JAF fait accord à ma demande. Habitant à 650 kilomètres de Clermont-Ferrand et étant obligé de travailler, je ne pouvais pas demander d’avantage. Je me suis vu dans l’obligation de travailler quatre ans supplémentaires après ma retraite pour faire face aux obligations qui ont découlé d’un conflit dont la seule et unique responsable est la mère.

Malgré le ferme refus de la mère, il est ordonné un droit de visite et d’hébergement un week-end par mois et la moitié des vacances scolaires. L’autorité parentale ne m’étant pas retirée, il est ordonné également que le point de rencontre ARAMIS puisse servir de lien pour le passage de l’enfant entre la mère et moi-même.
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« Miguel dit qu’il a des secrets avec le père… »
« Je ne veux pas aller chez papa. »

L’enfant Miguel fut un bébé souffrant d’épisodes de bronchites asthmatiforme fortement handicapants, nécessitant un suivi médical avec une corticothérapie lourde, des soins de kinésithérapie, voire diverses hospitalisations au service des urgences du CHU de Clermont-Ferrand.
Tout autant que les jours, les nuits d’un bébé souffrant de l’asthme sont la source d’une angoisse indicible.
Alors que l’enfant n’avait encore passé AUCUNE nuit avec son père, la grand-mère déclara au cours de l’enquête sociale 2005 : « Chaque fois que M. DE LA ARENA a rendu visite à Miguel, ce dernier a été agité et a pleuré le soir. »

Le ton est donné, le reste n’est que suite.

Dès janvier 2007, dès les premières nuitées chez moi, un enfant de DEUX ANS a droit à des suivis chez le pédopsychiatre. Comme justification, on évoquera les cauchemars que Miguel ferait dès les premières nuitées en ma compagnie.

Au cours de l’expertise, demandée par la mère sans refus de ma part, les angoisses d’un enfant asthmatique et fortement influençable sont mises en scène jusqu’à la transformer en peur du père, sans que l’experte, Madame TALBOT, ni le pédopsychiatre, Monsieur DIDIERLAURENT, ne posent la question de savoir en quoi la mère pourrait être responsable.
L’enfant dit a l’expert : « Je veux pas aller chez papa… C’est difficile pour maman… Ça se passe mal avec papa. »

Ces déclarations sont le premier signe d’un enfant qui se plie aux désirs de la mère, les signes d’un enfant influençable comme le prétendait le pédopsychiatre DIDIERLAURENT.
L’enfant devient protecteur.

S’appuyant sur le mal-être et les paniques d’un enfant asthmatique, la mère l’élève en lui insufflant la peur : « Des fois, elle me fâche, maman. Elle me dit qu’il ne faut pas bouger, que le loup-garou va venir. »
Les terreurs qu’elle fomente seront postérieurement imputées comme étant de responsabilité paternelle.

Dans le même rapport, le pédopsychiatre DIDIERLAURENT, s’exprimant par l’intermédiaire de l’experte, affirme : « Miguel peut facilement se glisser dans les représentations que les adultes induisent. Il a par moments un vécu insécurité tout en parlant de fantasmes liés aux stades que tous les enfants traversent à son âge. »

La suite de l’histoire des troubles de Miguel nous apprendra que les « fantasmes » n’agissent que dans la manière où ce pédopsychiatre accomplit son travail.
Au cours de l’expertise ordonnée par Madame le juge Mélanie JALICOT, Miguel, qui n’avait que trois ans et demi en 2008, dit à l’experte, Madame TALBOT : « Papa, lui, vole tous les trucs anciens. Maman me dit de pas faire de bisous à papa. »

Quelques mois plus tard, Miguel m’a corroboré en tête à tête l’idée qu’on lui a insufflée selon laquelle je serais un voleur, en me donnant plus de détails sur la personne (il a donné le nom d’une personne qui prétendait que j’avais volé des « bijoux ».)

Suivant les diktats maternels, mon fils ne m’a JAMAIS embrassé.

Depuis tout petit, l’enfant est empêché d’aimer son père, avec une image sans cesse négative.
Il vit dans la peur de son père, non pas parce que le père est un danger pour l’enfant (les deux expertises autant que le pédopsychiatre en font le constat explicite), mais parce que l’environnement familial lui incite implicitement et explicitement à intégrer la peur du père.

Au cours de l’expertise de 2008, et pour justifier six mois de non-représentation d’enfant, Madame X déclare :
« Miguel dit qu’il a des secrets avec le père, qu’il fait des cauchemars, que son père lui touche le zizi ou qu’il lui met le zizi dans les fesses. Je sais que je me suis mise hors-la-loi en ne présentant pas l’enfant aux visites. »

Selon une double expertise (2008 et 2011), confortée par l’avis du pédopsychiatre qui suit mon fils, de tels abus n’ont pu être validés.
D’ailleurs, cinq ans plus tard, Madame X affirme à l’expert nommé par la cour d’appel de Riom qu’elle ne me croit pas capable de tels actes : « Nous lui relatons les suspicions relatées en 2008 à Mme TALBOT sur d’éventuelles agressions sexuelles du père sur l’enfant ; elle semble tomber des nues et affirme qu’il n’a jamais été question de telles allégations et qu’elle ne croit pas M. DE LA ARENA capable de tels agissements. »

Alors que le dit Rapport d’Expert a été systématiquement, dans toutes les procédures auprès des JAF, mis en tête de liste des pièces, la mère à attendu cinq ans pour renier ses propres déclarations.

Donc… Miguel n’avait aucun secret avec son père, son père ne lui mettait pas « le zizi dans les fesses ». 
De ces déclarations d'abus sexuelle , aucune mention est faite dans l'Ordonnance qui a suivie ces déclarations . L’absence totale de reproche fait à la mère concernant cette grave accusation ne fera que conforter son sentiment d’impunité, qu’elle peut tout dire et tout faire.

Prétextant des cauchemars nocturnes, qui pourraient être la conséquence des abus sexuels de son père, Miguel est conduit chez un pédopsychiatre pour manipuler l’enfant en créant un climat de prétendus troubles psychologiques ainsi que pour élaborer les éléments des futures assignations.

Tout au long de l’année 2007, jamais la mère ne m’a informé de l’existence d’un suivi psychiatrique de mon fils, le psychiatre lui-même ne m’a jamais contacté.

Ainsi donc, madame X n’est pas uniquement dans le « déni », comme cela a été évoqué plus tard par l’expert T. ARPIN, elle est aussi dans la MANIPULATION.

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La mère, au lieu d’écouter ce que tout pédopsychiatre peut dire sur les cauchemars et terreurs nocturnes, au lieu de faire le lien avec le docteur Bernard BOUCHE, pédiatre qui suivait l’enfant pour son asthme, préfère imputer les difficultés de l’enfant à de prétendus abus sexuels de la part du père.

On n’est pas face à une « erreur » de la mère ni à la manifestation d’une « angoisse » de la mère, mais à une intention délibérée de créer les conditions qui expliqueront au cours de l’année 2007-2008 ces six mois de non-représentation d’enfant.

Au cours de l’expertise, Miguel dit : « Je ne veux pas aller chez papa. »

Sauf que madame TALBOT constate : « Nous précisions que nous avons reçu Miguel seul puis avec son père et sa mère. Avec son père qu’il n’avait pas vu depuis des mois, Miguel a manifesté de la joie. Il a été à l’aise avec lui, s’adressant à lui tantôt en français, tantôt en catalan. M. DE LA ARENA avait emmené des photos des dernières vacances de son fils avec lui. Père et fils les ont regardées en notre présence. Il n’y a eu aucune gêne ni ambiguïté dans les relations que nous avons pu observer. Un jeu a même pu s’initier entre le père et le fils, celui-ci visiblement content de rencontrer son père ; M. DE LA ARENA s’est montré adéquat avec son fils ; il n’a eu aucune difficulté pour renouer avec lui malgré les mois sans rencontre. »

À l’heure actuelle, Miguel dit en boucle, en corroborant les dires de la mère, qu’il n’a jamais voulu venir chez moi. Il n’est pas difficile de déduire la part de vérité qui enferme les dires de l’enfant. Il ne veut pas venir chez moi parce qu’au retour chez sa mère, il va souffrir le martyre en étant obligé d’inventer ou transformer la réalité de nos relations pour faire plaisir à sa maman.

L’experte en 2008 constatait les bonnes relations entre l’enfant et son père et le fait que le père « ne présente pas de danger pour son enfant. »

Il est remarquable que madame TALBOT ne se pose jamais la question de l’importance du comportement maternel dans le conflit initié par la mère conduisant à ce qui sera nommé « expertise ».

Le sexisme est un marqueur qui suinte dans les expertises de 2008 et 2014. Les expertises sont menées selon le point de vue d’un père violent, mais, même quand on me dédouane, on n’approfondit jamais le comportement maternel.

Contre ma volonté, exprimée par lettre recommandée, madame TALBOT a pris la liberté déontologique de suivre mon fils pour une « thérapie » tout à fait hasardeuse. La comparaison des trois attestations de madame TALBOT avec les conclusions de l’expert Toni ARPIN nous indique bien la « qualité » du suivi psychologique que madame TALBOT prodigue à mon fils.

Alors que la mère parle d’une violence insupportable (j’aurais jeté mon fils contre un mur et par terre), dans un élan d’honnêteté, madame TALBOT, dans sa dernière attestation, évoque de la « brusquerie » de ma part et non pas de la violence. 
Acte de brusquerie que je n’ai jamais nié. Qui n’a jamais fait d’erreurs ?

Madame X reprend dans chacune de ses conclusions l’expertise réalisée par madame TALBOT, qui estime que ma soi-disant « psychorigidité » serait la cause du conflit.

Cela a été relayé par l’expertise de monsieur Tony ARPIN (2011), au point que pendant une heure, le juge des enfants a permis qu’on puisse s’attarder sur ma « psychorigidité ».

Madame TALBOT dit « plutôt rigide » et l’expertise de 2011 « un peu psychorigide ». Monsieur Tony ARPIN se prive de justifier un tel propos, peut-être parce qu’il considérait que l’affirmation de madame TALBOT en disait assez long ?

À partir de quel point de vue Madame TALBOT m’envisage-t-elle pour déterminer ma « rigidité » ?

« Son passé politique et ses engagements témoignent de la volonté de cet homme mais aussi de son comportement non modéré. »
Ainsi donc, pour madame TALBOT, pendant la période franquiste, la modération flattée aurait consisté à collaborer avec le dictateur sanguinaire. Des milliers de personnes ont péri, des milliers d’autres ont croupi en prison. Par leur opposition au franquisme, des milliers de personnes peuvent donc se situer dans le camp des « non-modérés » et donc… des « psychorigides » ?

On n’a jamais pu établir en quoi ma « psychorigidité » serait la cause des fausses allégations de la mère… Il n’est pas moins vrai que, effectivement, dans ce domaine comme dans d’autres, quand cela est nécessaire, je ne suis pas « psycho-mou ».

Après deux ans de procédure devant le JAF, en date du mois de janvier 2009, sans la moindre « réprimande » faite à la mère face à de tels comportements, la nouvelle ordonnance du JAF prolonge mes droits.

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« La réalité du syndrome d’aliénation parentale évoquée par le père n’est pas établie » (Jean-Marc HOUÉE, juge aux affaires familiales, octobre 2012)

Janvier 2012. À l’initiative de la mère : une nouvelle assignation. Début de trois ans ininterrompus de non-représentation d’enfant. L’enfant, qui a 7 ans et demi, « demande » à être auditionné par un juge. Miguel est entendu par le juge aux affaires familiales Jean-Marc HOUÉE.

Dans les 80 pages qui composent mes conclusions et un long travail d’explication sur MON FILS MIGUEL, je me suis attardé assez clairement afin de prendre en défaut la totalité des affabulations de la mère, je ne reviendrai donc pas sur la totalité.

Après audition, refus par le juge autant que par la mère de nommer un nouvel expert. Le juge HOUÉE rend son ordonnance le 12 octobre 2012.
Pour motiver son ordonnance, le juge HOUÉE égrène des faits évoqués dans les débats sous forme de neuf attendus.

En rappelant que le rapport d’enquête sociale « indiquait que monsieur DE LA ARENA s’occupe de manière adaptée de ses enfants, Madame X ajoutant n’avoir jamais été frappée et n’ayant pas peur de son ex-ami ».

L’insolite commence par la présence d’une femme qui initie ses querelles en 2005 sous prétexte d’un comportement violent de ma part, mais qui demeure dans l’incapacité de caractériser cette prétendue violence. Calomniez, calomniez, il en restera toujours quelque chose !

« Attendu pourtant que dès janvier 2012 Madame X a informé monsieur DE LA ARENA qu’elle ne lui présenterait plus l’enfant, au motif que celui-ci ne voudrait plus se rendre chez son père… que les rencontres père/fils se réduisent à un simple droit de visite un samedi par mois de 10 heures à 18 heures (soit un total de 96 heures par an) ; qu’à l’appui de ses prétentions Madame X se prévaut du sentiment de son fils, du comportement violent et inadapté du père et de l’avis de madame TALBOT, psychologue, assurant désormais le suivi psychologique de Miguel qui mentionne les propos graves tenus par l’enfant à l’égard de son père (coups, manquements dans la surveillance, vécu angoissant, humiliations), situation produisant selon elle des effets d’angoisse justifiant la mise en place de rencontres médiatisées pour apaiser les relations, rassurer l’enfant et poursuivre le maintien du lien ; qu’il conviendra toutefois de relever que ce cadre a été posé et qu’un tel retour en arrière apparaît singulier ; que l’on perçoit d’ailleurs mal en quoi le sentiment de terreur exprimé par l’enfant (fut-il authentique et les violences prétendument exercées sur lui pourraient rendre opportun le maintien du lien et être compatibles avec le maintien d’un quelconque droit de visite). »

En suivant sa motivation le juge HOUÉE s’exprime ainsi :
« Attendu que lors de son audition par le juge aux affaires familiales, le jeune Miguel a évoqué les mêmes scènes que celles relatées par la mère, mais parfois en se plaçant manifestement dans le commentaire et l’argumentaire ; que certains faits, face aux explications cohérentes et plausibles de monsieur DE LA ARENA ont manifestement été amplifiés voire interprétés. »

À la lecture de l’expertise ordonnée en appel, on peut juger du bien-fondé de l’affirmation du JAF en 2012 selon laquelle « une nouvelle expertise psychiatrique serait nécessairement vaine ».

Néanmoins, il y a dans ses propos une immense sagesse puisque, même quand une expertise est telle que l’expert Tony ARPIN l’a réalisée, un juge peut toujours s’asseoir dessus, en allant jusqu’à faire une lecture dénaturant les propos de l’expertise pour prendre une décision aboutissant à prolonger et renforcer la séparation de l’enfant et approfondissant les troubles psychologiques dont l’expert prend acte ; des conséquences qu’on ne peut définir que comme participant à l’aliénation de l’enfant.

Dans mes conclusions, je demande la garde de l’enfant. Le juge HOUÉE rétorque :
« Attendu qu’il y a lieu de rappeler que la fixation au domicile de l’un des parents de la résidence habituelle de l’enfant n’est pas un avantage qui lui est concédé, mais une mesure qui est prise provisoirement dans le seul intérêt de l’enfant mineur et que cet intérêt s’apprécie notamment par référence à la capacité que ce parent a de mettre de côté le conflit entre les adultes et de maintenir les meilleures relations possibles entre l’enfant et l’autre parent. »

Les phrases du juge font penser à la déclamation d’un code de bonne conduite dont l’application n’est nullement exigée de la personne concernée.
En laissant les choses en l’état, le juge HOUÉE donne à une mère toxique les moyens et le temps de poursuivre un travail de sape et de bourrage de crâne.
Envers la mère, le juge HOUÉE est prodigue en conseils : on pouvait s’en douter, la suite de l’histoire l’a démontré, elle ne tiendra pas compte que « c’est à Madame X qu’il appartient de se rassurer enfin et donc de rassurer son fils ».
Le Juge Houée avait les éléments pour comprendre que de tels conseils ne pouvaient avoir aucun effet sur la mère pouvaient, et auraient dû, être déduits du comportement antérieur de la mère. Uniquement une vision idéalisé  de la maternité ou un tout autre pré-jugement lui incitant a faire fi des données de son  dossier peuvent expliquer un telle grave erreur. 
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On ne peut qu’être d’accord avec le principe énoncé par le juge : la résidence habituelle de l’enfant n’est pas un avantage qui lui est concédé, mais une mesure qui est prise provisoirement dans le seul intérêt de l’enfant mineur et que cet intérêt s’apprécie notamment par référence à la capacité que ce parent a de mettre de côté le conflit entre les adultes et de maintenir les meilleures relations possibles entre l’enfant et l’autre parent" . Il conviendrait de l’appliquer dès qu’un parent « provoque » un conflit en argumentant par le moyen de fausses allégations d’abus sexuel et de violences non avérées.

Néanmoins, il est absolument regrettable que le juge HOUÉE ne puisse l’appliquer lui-même à une situation dans laquelle la mère est l’initiatrice d’un conflit qui n’a pas pour motivation de « régler des comptes » avec le père, mais l’objectif unique de séparer l’enfant de son père pour mieux s’approprier “SON” enfant, “SA CHOSE”. Par le contenu de sa propre décision, il est patent que l’enfant a été manipulé jusqu’à en arriver à demander à 7 ans et demi une audition avec un juge.

Se préoccupant du sacro-saint « intérêt de l’enfant », duquel on abuse tant en paroles qu’en actes pour prendre les décisions les plus indigentes et avoir les avis les plus controversés, le juge écrit que « tout transfert de résidence apparaît par ailleurs prématuré et susceptible d’être vécu par Miguel avec une grande violence, d’autant plus que la réalité du syndrome d’aliénation parentale évoqué par le père n’est pas établie ; que la résidence sera donc maintenue chez la mère ».

S’il est indéniable qu’un tel arrachement ne peut qu’être violent, rien n’est plus nuisible pour l’enfant que de le laisser sous la coupe d’un parent qui sépare sciemment l’enfant de l’autre parent et de le laisser dévorer sa vie. L’enfant devient alors l’objet de sa mère, un « objet » ayant maintenant pour mission de faire lui-même disparaître son père de sa vie pour mieux s’abandonner à la « propriété » totale de sa mère toute puissante.
Il est utile de signaler que je n’ai jamais évoqué un « syndrome d’aliénation parentale », mais une aliénation parentale tout court.
Seules une cécité tout idéologique ajoutant une dose d’incompétence  peuvent expliquer une telle décision.
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En lissant le Rapport d'Expert on peut répondre à la question posée par ce juge Houée : « L’on peut s’interroger sur les conséquences que continuent à avoir sur le mineur les angoisses, existantes de la naissance de l’enfant et à ce jour persistante, de Madame X qui pourraient ainsi être transmises et que Miguel pourraient s’approprier comme siennes. »

( Angoisses ? Quelles angoisses ?. Les angoisses de la mère sont une mystification pour masquer ses actes de manipulation. ) 
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Lors de l’audience devant le JAF précédant l’ordonnance d’octobre 2012, je me suis représenté moi-même.

Alors que l’agressivité à mon encontre avait toujours été de mise, l’avocate défendant la mère depuis plus de trois ans n’a fait pour toute plaidoirie que la lecture monotone de ses conclusions. Ce fut assez insolite. De toute évidence, elle « lâchait » poliment sa cliente devant le juge. Ce fut la derrière fois qu’elle défendit les intérêts de Madame X. En s’adressant à la mère, au cours de l’audience, le juge HOUÉE a utilisé plus d’une douzaine de fois le mot « broder » pour qualifier le sens des accusations de la mère. À l’évocation de chacune des prétentions de la mère, le juge HOUÉE a asséné un « Madame, vous brodez !».
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À la lecture attentive de l’expertise que le juge d’APPEL m’a accordée (toujours avec le refus de la mère jusqu’à ses dernières conclusions), on est bien obligés d’accepter le bien-fondé de ma demande et d’ enfin nommer une nouvelle expertise, le juge HOUÉE commettant une grave erreur en ne l’acceptant pas.
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Les non-représentations d’enfant se sont succédé pendant trois ans. Plus les débats durent, plus le temps passe, plus cet enfant s’éloigne et rentre en haine envers son père. C’est LE BUT du conflit qu’on attise avec des affabulations et des fausses allégations qu’on double de trois longues années de NON-REPRÉSENTATION D’ENFANT.
Alors qu’il s’agit de favoriser le lien, sans aucune justification, ma demande de pouvoir voir mon fils une semaine au mois de juin n’est pas acceptée.
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Fausses allégations d’abus sexuel, manipulations pour créer un climat de méfiance envers son père, un nombre incalculable d’affabulations qu’on brandit sans besoin de démonstration… Je me suis vu dans l’obligation de démontrer la fausseté de toutes les accusations de la mère. 
Il n’a jamais été demandé à la mère de démontrer ses affirmations, en violation délibérée de la loi.

Les « débuts » de cette « histoire compliquée » (l’expression est du Juge Houée) constituent les prémisses du processus aliénant. Dès 2008, les éléments constitutifs de l’aliénation parentale étaient à l’œuvre.
L’assignation de janvier 2012 a représenté une étape supplémentaire dans le processus. Avec l’ordonnance datée du 12 octobre 2012, l’aliénation parentale prend son élan ultime vers la quasi-impossibilité de retour en arrière.
Nier l’évidence doit bien pouvoir se qualifier de négationnisme ; un jour on pourra peut-être juger un tel comportement.
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Il est nécessaire de s’attarder sur quelques éléments de l’expertise réalisée à la demande du juge d’APPEL.
L’expert affirme : « Il existe une distorsion entre ce qu’il dit et ce qu’il mime. »

La clef pour comprendre cette distorsion se trouve dans le besoin qu’a l’enfant de se conformer aux désirs de la mère et dans « le conflit de loyauté » évoqué dans l’expertise.
Les désirs malsains de la mère ont construit un enfant avec « une certaine immaturité affective ».
Alors que l’intelligence de Miguel peut nous éblouir, l’expert affirme, en se répétant, que « le niveau graphique est celui d’un enfant de 6 ans et signe l’immaturité affective ».

L’empêchant d’aimer son père, il ne peut en être autrement. Bientôt onze ans de rejet du père ont eu comme résultat que Miguel a « exclu le père de la constellation familiale ». Selon l’expert, Miguel, idéalisant le comportement maternel, décrit « une sorte de symbiose entre ses désirs et les réponses maternelles ».

Quel est le « quotient » de la surprotection dont on parle à propos de la mère et quelles sont les conséquences de la « symbiose » entre les désirs de l’enfant et les réponses maternelles ?
Monsieur Tony ARPIN nous dit : « Il serait intéressant de s’interroger sur le statut de Miguel qui vit seul auprès de sa mère ; à la fois fils, partenaire et protecteur ? »
On aurait été en droit d’attendre que l’expert fournisse la réponse puisque c’est pour cela qu’il a été mandaté.

Poser une question, c’est en partie y répondre.

L’expert parle le langage de son métier, il convient donc de lire ses mots non pas en usant du code de lecture de monsieur Tout-le-Monde, mais de celui du jargon des psychologues.

Puisqu’il est question du « conflit de loyauté », en donnant la parole à une psychologue, il est nécessaire d’établir ce qui crée cette tension intrapsychique, le mécanisme psychologique.

« Le conflit de loyauté peut se définir comme un conflit intrapsychique né de l’impossibilité de choisir entre deux situations possibles, ce choix concernant le plus souvent les sentiments ou ce que nous croyons en être, envers des personnes qui nous sont chères. »

De façon générale, la violence conjugale est gardée secrète et les enfants y étant exposés sont souvent clairement avertis (par le parent violent et manipulateur, par le parent agressé et culpabilisé) qu’ils ne doivent pas révéler à quiconque la présence de cette violence. Ces enfants doivent ainsi sceller leurs souvenirs et ne pas aborder le sujet, bien que les conséquences de la violence continuent d’affecter leur vie quotidienne. Ils occultent, peuvent se retrouver en état dissociatif. Ils sont alors clivés. Certains, les « résilients », vont surmonter en se créant leurs propres structures de pensée.
Les travaux de Boszormenyi-Nagy, systématicien, évoquent la loyauté entre enfants et parents et des situations hors normes où l’enfant est parentifié, ce qui engendre une loyauté verticale non maintenue. Le conflit de loyauté amène alors une indifférenciation générationnelle favorisant un contexte incestuel voire l’inceste lui-même. Le conflit de loyauté, tout comme le conflit psychique, amène l’individu à ne plus savoir se positionner face à des contradictions entre ses désirs et ses devoirs.

Il a été démontré que ce « conflit de loyauté » dans lequel est durablement plongé l’enfant est très destructeur pour la construction de la personnalité future de l’enfant. Pour l’enfant, ce conflit intrapsychique naît de la profonde impossibilité de choisir entre le père et la mère.

Le conflit de loyauté est un trouble majeur auquel se trouvent confrontés de nombreux enfants de parents divorcés et qui doivent constamment composer entre les désirs des parents souvent contradictoires, et entre les obligations et interdictions diverses de ces deux parents qui ne parviennent plus à s’entendre.

Ce conflit parental est une forme de violence psychologique, et devient destructeur de par la répétitivité des messages contradictoires que peut recevoir l’enfant de la part de ces deux parents.

Comme le secret de la violence est gardé aussi bien à l’intérieur qu’à l’extérieur de la famille, l’enfant qui désire comprendre la situation et ses sentiments face à celle-ci est forcé de le faire seul, ce qui augmente son sentiment d’isolement. Cette situation peut présenter des risques émotionnels et physiques pour les enfants, les jeunes n’étant pas totalement conscients de la sévérité de la violence ni du risque actuel ou du potentiel de danger physique y étant associé.

Les rapports avec les parents sont modifiés, inversés, et déstructurants. L’enfant est souvent parentalisé. Ses repères trop faibles et trop mouvants l’empêchent de se structurer sereinement. Les jeunes peuvent percevoir leur mère comme étant faible et éprouver du mépris envers cette dernière. Ils peuvent alors percevoir leur père comme la personne détenant le pouvoir dans la famille, ce qui peut provoquer l’admiration des enfants.

Parfois, la mère peut aussi désirer quitter cet environnement violent et les enfants peuvent alors percevoir celle-ci comme la cause de la séparation de la famille et se ranger du côté de leur père. Les enfants peuvent donc éprouver des sentiments contradictoires alternants fréquemment entre l’amour et la haine, l’attachement et le détachement, la proximité et le rejet à l’égard de l’un ou l’autre de leurs parents. Par ailleurs, cette ambivalence est un processus normal du développement caractérisant le plus souvent les enfants autour de deux ans. Chez les enfants exposés à la violence conjugale, l’ambivalence est nettement présente et ce, à tous les âges. Si l’exposition à la violence conjugale perdure, le conflit de loyauté de l’enfant peut devenir de plus en plus intense et ce jusqu’à devenir carrément insoutenable. L’enfant peut alors prendre position pour l’un ou l’autre de ses parents afin d’atténuer l’intensité de ses émotions déchirantes.

Anne-Laure Buffet

On tient donc la réponse aux questions posées par l’expert et auxquelles il n’a pas voulu répondre : on est dans un climat incestueux.
Tout indique qu’on est dans un processus bien trop avancé d’emprise de la volonté de l’enfant.
Depuis qu’il est tout petit, l’enfant devient protecteur. Plus tard, malgré lui, complice.
À ce jour, Miguel a le comportement d’un « enfant soldat ».

Il n’existe aucun autre moyen pour préserver le bien-être de l’enfant que de le séparer d’une mère toxique. Dans des cas similaires, tous les spécialistes sont unanimes pour formuler un tel avis.

La "courtoisie" de Madame X devient facilement « obséquieuse » et malgré son "intelligence" au cours de son entretien avec l’expert, elle « fait de nombreuses digressions ou perd le fil de ses pensées ». Bref, pour se masquer, elle fait semblant.
Le « déni » évoqué par l’expert s’exprime dans la « distorsion entre le discours et les faits ». « Personnalité complexe, qui vit dans une sorte de faux-self, cherchant à adapter la réalité à ses propres conceptions. »

On va donc donner la parole à un autre psychologue pour qu’il nous explique le sens que renferme le terme « faux-self » et terminer le portrait psychologique de la mère.

Le faux-self
« [...] le sentiment de culpabilité dans ses rapports avec les pulsions et les idées d’agressivité et de destruction, et c’est seulement lorsque le malade est capable de comprendre ce sentiment, de le supporter et de l’assumer, qu’on voit apparaître un besoin de réparation [...] dans la pratique clinique. Cependant, nous avons affaire à une fausse réparation qui n’est pas spécifiquement apparentée à la culpabilité du malade [...] mais la défense organisée de la mère contre sa dépression et sa culpabilité inconscientes à elle. » Winnicott veut dire par là que l’enfant peut être inclus dans les défenses maternelles contre la dépression, ce qui l’empêche d’atteindre sa propre position dépressive suite à ses fantasmes sadiques et donc la culpabilité (le sentiment d’être responsable de la perte de l’objet) et les possibilités de réparation et de restauration. L’enfant a grandi pour protéger la mère contre sa dépression, dans le but de réparer la mère, de la réanimer et non selon son évolution personnelle. L’enfant est devenu le psychiatre de ses parents (Ferenczi). « [...] C’est le terrorisme de la souffrance. Les enfants sont obligés d’aplanir toutes sortes de conflits familiaux, et portent sur leurs frêles épaules le fardeau de tous les autres membres de la famille. »

Cette censure par l’enfant de tous les mouvements pulsionnels que la mère ne peut contenir la progression traumatique et débouche sur un fonctionnement en faux-self, une pseudo-adaptation à la réalité. « La mère qui n’est pas suffisamment bonne n’est pas capable de rendre effective l’omnipotence du nourrisson et elle ne cesse donc de faire défaut au nourrisson au lieu de répondre à son geste. À la place, elle y substitue le sien propre, qui n’aura d’autre sens que par la soumission du nourrisson. Cette soumission de sa part est le tout premier stade du faux “self” et elle relève de l’inaptitude de la mère à ressentir les besoins du nourrisson. »

Isabelle LEVERT,
psychologue clinicienne et psychothérapeute

Ainsi donc, on peut déduire que la mère fait subir au fils les traumatismes qu’elle a elle-même supportés. On trouve ici, et pas ailleurs, l’explication du comportement de madame X.
« Certainement très surprotectrice, elle peut communiquer ses propres appréhensions à son fils sans qu’il y ait réelles intentions de nuire ou de manipuler. »

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La terminologie , « faux-self »,  « déni » , « conflit de loyauté » , employés par l’expert Tony ARPIN c'est une terminologie de psychologue, c’est donc en tant que telle qu’il faut la lire. Elle nous permet de comprendre la personnalité de Madame X, l’état actuel de l’enfant (que le même expert définit comme « immature » et vivant dans un « conflit de loyauté ») et les faits eux-mêmes. Une histoire de bientôt onze ans peut paraître « compliquée » à qui ne veut pas voir l’évidence, les Juges , mais tous ces éléments évoquent les composants matériels et psychologiques de l’existence d’un phénomène aliénant.

En faisant fi de cette histoire qui a fait que les liens sont coupés et de la totalité du contenu de l’expertise, la motivation principale en appel pour demander une action éducative en milieu ouvert (AEMO) pour éviter « l’enlisement du conflit » reste un mystère.

Les juges d’APPEL ont-ils vraiment lu le dossier , ou se sont-ils limité a trouver trois mots a effacer pour confirmer la décision du Juge Houée ?

Connaissent-ils les moyens RÉELS des éducateurs pendant le déroulement d’une AEMO ?

En quoi et comment l’intervention d’une « tierce personne » va combler le gouffre que la mère a créé pendant plus de dix ans ?

Prétextant la fragilité de mon fils, dont seule la mère est responsable, on n’accepte pas ma demande d’élargir mes droits de visite et d’hébergement : comment cette « tierce personne » va-t-elle faire pour favoriser la « triangulation » ?

Les juges d’appel ont ordonné une AEMO pour mettre crasse et poussière sous le tapis.

Comme un coup d’épée dans l’eau, l’expert recommande à la mère un suivi psychologique.

Ce n’est pas l’enfant qui a besoin d’une aide pour son éducation, c’est la mère qui a besoin de l’assistance d’un psychologue.

Miguel n’est pas né fragile. Si l’enfant est devenu fragile, c’est uniquement du fait de comportement de sa mère.
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En appel, aucune mise en demeure n’a été faite à la mère : « Enfin, il n’y a pas lieu à condamner Madame X à remettre l’enfant sous astreinte. »

Les juges d’APPEL ne font aucun cas de la réalité et refusent de la regarder en face, aveuglés par leurs prémisses idéologiques selon lesquelles une mère est avant tout quelqu’un de bienveillant à l’égard de son enfant.

Miguel n’est pas « immature » parce qu’il est avec son père, mais parce qu’il est avec sa mère. Pourtant, c’est au père qu’on assigne un droit de visite et d’hébergement restreint ; c’est son père qu’on déboute de sa demande de condamner la mère à une astreinte financière si elle ne remet pas l’enfant.

C’est-à-dire qu’on laisse la mère les mains libres pour continuer son aliénation. De plus, on la rassure : elle pourra faire tout ce qu’elle voudra en toute impunité.
Après trois ans et demi de non-représentation d’enfant cumulés , la dernière décision en correctionnelle, tout en la déclarant coupable, la dispense de peine.
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Les juges d’APPEL vont bien plus loin puisqu’ils font dire au rapport d’expert ce qui n’est pas écrit dedans : qu’il n’existe pas d’aliénation parentale.

Alors que la mère m’accuse d’abus sexuel et de violence, alors qu’elle inonde le Palais de Justice d’affabulations à mon encontre, alors qu’elle tente de me faire emprisonner sous l’accusation que je suis un terroriste, alors que de toute évidence – et par la description qu’il en fait lui-même alors qu’il nous dit que Madame est dans le « faux-self » et dans le « déni » – l’expert Tony ARPIN considère qu’il n’y a pas volonté de nuire.

Au sujet de la mère, l’expert Tony ARPIN prétend que « très surprotectrice avec Miguel sans que l’on puisse parler d’aliénation parentale avec intention délibérée de nuire au père ».

Les juges en appel font « disparaître » la dernière partie de la phrase de l’expert pour lui faire dire que « l’on (ne) puisse parler d’aliénation parentale ».

Considérant que le « syndrome d’aliénation parentale » est une maladie, empêtré dans les méandres de la pseudo-science,  l'expert Tony ARPIN , se dispense de diagnostique.

Diagnostique qui ne pourrait être posé  que par un médecin psychiatre… Même s’il évoque lui-même toutes ces composantes, lui comme expert psychologue  ne peut donc pas poser un tel diagnostic dans le cadre d’une expertise , même s'il épelle un a un les traits psychologique et les éléments constitutives de l'emprise psychologique 

De son propre aveu, l’expert Tony ARPIN est  opposé à la garde alternée, et c’est en tant que militant qu’il torture la réalité qu’il a lui-même constatée pour empêcher le père d’avoir la garde.
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Quand, de son côté, le juge HOUÉE prétend que l’aliénation parentale « n’est pas établie » (ordonnance de 2012), tous les éléments de ladite aliénation sont pourtant déjà constitués.

En plus d’une myriade d’affabulations et des conflits provoqués tantôt au téléphone tantôt devant témoins au point de rencontre, Madame X m’accuse d’être violent et de pratiquer des abus sexuels sur mon fils ; alors que rien ne justifie que Miguel ait à suivre des entretiens psychiatriques moins d’un mois après que l’enfant ait passé sa première nuit chez moi, il a droit à un suivi tous les quinze jours, sans que je ne sois mis au courant, et de toute évidence autant pour soutirer des certificats de complaisance allant dans le sens que la mère avait préalablement décidé (abus sexuels) que de programmer l’enfant pour qu’il refuse le contact avec son père.

Au moment où le juge HOUÉE signe son ordonnance (16 octobre 2012), Madame X avait déjà fait deux périodes de NRE : sept mois en 2007-2008 et dix mois en 2012.

Au lieu d’accepter ma demande d’expertise, il décide que Madame X souffre d’angoisse et refuse de prendre les mesures qui s’imposent, se limitant à donner des conseils à la mère.

La décision du juge HOUÉE ouvrit grand la porte pour la poursuite du processus aliénant.

Postérieurement, la nomination de l’expert a pu permettre d’établir sans l’ombre d’un doute que la source du conflit doit être trouvée dans la psychologie et le comportement de la mère et non pas du père.

Concernant l’état psychologique de Miguel, l’expert, écrit : « Certainement très surprotectrice, elle peut communiquer ses propres appréhensions à son fils sans qu’il ait de réelles intentions de nuire ou de manipuler », ajoutant qu’« elle peut communiquer ses angoisses, sans que l’on puisse parler d’aliénation parentale avec intention délibérée de nuire au père » ; Etonnante opinion d'un expert qui décrit une femme comme étant dans le « déni » et « le faux-self », une femme qui se présente a lui en perdant " le fil de ses pensées" tout en étant "très courtoisie pour ne pas dire obséquieuse " 

En s’appuyant exclusivement sur ces données et en faisant fi de la totalité de dix ans de conflit, en APPEL , il est dit : « Sans toutefois que l’on puisse parler d’aliénation parentale, et qu’elle pourrait bénéficier d’un suivi psychologique ».

Au-delà du fait que l’on ne sait pas comment on pourrait obliger Madame X à suivre une telle thérapie, pourquoi a-t-elle besoin d’un suivi psychologique s’il n’y a pas aliénation parentale ?
Il faut noter que l’expert n’écarte pas l’existence du processus aliénant, sa phrase a lui doit être lu dans son ensemble et non pas amputé de la fin.
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De … "intention délibérée"
On ne peut tout de même pas continuer à justifier les agissements de Madame X comme étant le fruit des simples « angoisses », qu’on veut nous présenter comme étant celles d’une mère qui a besoin d’être rassurée.
Si en règle générale Madame X n’est pas consciente de la nuisance de son comportement, elle est parfaitement consciente que son fonctionnement lui est utile.

Ses manipulations et ses ruses sont utilisées d’une manière systématique avec un but égocentrique, s’approprier son enfant, sa « CHOSE », le produit de ses entrailles.

Madame X n’est pas consciente du mal qu’elle fait, comme elle ne tient absolument pas compte des conséquences de ses actes, elle ne peut que constater, soit avec étonnement, soit avec satisfaction, les conséquences de ses actes.

Pour elle, les conséquences sur le père n’ont aucune importance, ce qui importe, c’est d’atteindre ses objectifs, quelles que soient les conséquences de ses actes.
Pour Madame X, l’objectif justifie les moyens.
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Que ce soit au cours de l’audition ou devant l’expert, l’enfant n’arrive pas à se conformer aux dires de la mère, la violence dont il m’accuse n’a rien à voir avec les faits tels que la mère les décrits (jeter l’enfant contre un mur et contre un grillage) ; même la psychologue, madame TALBOT, parle dans son dernier certificat de « brusquerie » et non pas de violence.

À ce jour, les sept mois de non-représentation d’enfant de l’année 2008 restent sans logique ni motivation autre que la manipulation.

Les sept mois de non-représentation d’enfant de 2007 et 2008, tout comme les trois ans entre début 2011 et fin 2014, sont mis à profit pour séparer l’enfant du père et rendre ce dernier indésirable aux yeux de l’enfant.

Toute manœuvre tendant à créer un conflit basé sur de fausses allégations de violence et d’abus sexuel, d’affabulations les plus diverses – la mère en a fait une belle compilation –, de non-représentation d’enfant, forme la base d’un processus qui, s’il commence par la séparation traumatisante, sans une intervention prompte et adéquate, finit par le traumatisme psychologique où l’enfant n’est plus lui-même. 

Quelle que soit son intelligence, il n’a plus la liberté de penser par lui-même et, finalement, il s’affronte ouvertement au parent.

Nous en sommes là, les juges décrétant la non-existence de l’aliénation parentale alors que le processus dure depuis plus de dix ans et qu’il en est arrivé à son étape finale.

Tout de suite après l’audience qui s’est tenue devant vous, l’avocate qui prétend défendre les intérêts de mon fils est venue pour me dire que Miguel voulait me dire quelque chose.

Confiant et croyant que l’audience aura pu déclencher quelque chose de positif, je suis allé à la rencontre de mon fils à l’extérieur du palais en compagnie de mon avocate.

Je trouve alors l’enfant, la mère et l’avocate qui avait servi d’intermédiaire.

Là, je me trouve en face d’un enfant mu par une haine inexplicable et tout à fait disproportionnée, un enfant de dix ans qui s’affronte à son père.

Mon enfant m’a dit : « Je ne te pardonnerai jamais. » Je lui ai demandé qu’est-ce qu’il ne me pardonnerait pas. Il a répondu : « Tu m’as poussé violemment. »

En se prêtant à ce jeu, cette avocate qui prétend défendre les fameux intérêts de l’enfant se prête à un jeu destructeur pour mon fils. Notez bien, Monsieur le juge, les paroles de l’enfant : « poussé » et « violemment ». Or, le fait qu’un enfant ait été « violemment poussé par son père » – ce que je conteste fermement – ne peut en aucun cas expliquer le désir d’un enfant de ne plus jamais vouloir le voir.

Monsieur le Juge, tentez de faire le lien avec ce que l’expert a constaté entre ce que Miguel dit et ce qu’il mime. Avec cette nouvelle version, Miguel tente de pallier cette contradiction. En glissant dans ses admonestations, en évoluant dans ces explications, l’enfant tente de coller à une réalité construite de toutes pièces par la mère.

Il en fut de même au moment des « passages » de Noël 2014 et février 2015 au point de rencontre, la haine de l’enfant rendant impossible toute communication.

Lors de la dernière visite au point de rencontre, en février, Miguel est « mis sur le front » par la mère. Ce n’est plus elle qui ne présente pas l’enfant, mais l’enfant qui décide qu’il ne va pas voir son père, sous prétexte que je l’aurais frappé, en l’absence de tout témoin. Miguel m’affirme que le juge des enfants lui avait dit que « s’il ne veut pas aller avec son père, personne ne l’obligera » et que je l’ai « frappé tout le temps ».
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Monsieur le Juge, Monsieur  DE NEYERS, lors de l’audience du 28 novembre 2014, vous avez refusé de parler du passé en prétendant que vous ne vous intéressiez qu’à l’avenir. Votre refus de voir les problèmes qui se posent à mon fils vous a conduit à prendre la plus mauvaise des décisions. 

Vos motivations ne tiennent aucun compte du passé, mais, en revanche, vous prétendez que j’aurais des « difficultés » à me « remettre en question ».

Quelles fautes que je n’ai pas commises dois-je avouer pour vous être agréable ?

Pourriez-vous réviser un logiciel verrouillé en mode « femme victime/homme coupable » et « mère= confiance/père critiqué = défiance » ?

Pourquoi tenter de préparer un jugement a la Salomon sans y avoir les éléments ?
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En octobre 2012, le juge HOUÉE avait intimé à la mère le conseil de rassurer Miguel… 

Quelle farce ! 

Quel aveuglement ! 

Quels préjugés d’intentions bienveillantes à l’égard de la mère !

L’attestation du point de rencontre ARAMIS atteste que « Miguel a été présenté par sa mère, mais il a refusé de partir avec son père ».

Pour s’exonérer de nouvelles fautes pénales , pour échapper a des nouvelles poursuites, Madame X considère qu’est venu le temps où l’enfant doit rejeter publiquement son père . Dix ans , Enfant Roi c'est lui qui décide. 

Dans les deux auditions au pénal, pour s’exonérer de la peine, la mère clame au juge qu’elle demande bien à Miguel de dire la vérité.

En avançant un tel type d’argument Madame X admet implicitement que ses affabulations ne sont que des affabulations, elle fait peser sur mon fils une responsabilité qui est pourtant la sienne. 

Une telle perfidie ne peut en aucun cas être « involontaire ». 

Pour se blanchir, quel lourd fardeau cette mère fait peser sur les épaules de son enfant…

Autant à Noël que pendant les vacances de février, mes « rencontres » avec mon fils n’ont pas duré plus de dix minutes ; effectivement j’avais devant moi un autre enfant, un enfant mu par une haine qui rendait tout dialogue impossible.

Rappelons les conseils de l’ordonnance d’octobre 2012 : « C’est à Madame X qu’il appartient de se rassurer enfin et donc de rassurer son fils. » Madame X a mis à profit les trois ans non pas pour rassurer son fils, mais pour l’encrer dans de faux souvenirs. On ne voit pas comment elle aurait pu le rassurer puisqu’elle sans cesse elle continue à répéter les mêmes allégations.
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Comment savoir à quel stade en est la destruction du psychisme de mon fils ? . 

Victime d’un lien affectif hautement toxique pour le psychisme de mon fils , cédant à la pression malfaisante imposée par sa mère pour la défendre, Miguel ment a plusieurs reprises face à l’expert Monsieur Tony URPIN (voir le détail dans les pièces jointes lors de l’appel).

Malgré son intelligence, Miguel ne pourra être rendu responsable de quoi que ce soit. Les responsabilités (ou devrais-je dire l’irresponsabilité ?) doivent être partagées entre sa mère et les Juges qui ont laissé s’installer et perdurer une situation que j’ai toujours dénoncée.

Sans parler de l’incapacité de l’association ADSEA à agir en temps et en heure : l’état de la situation rend le but de son intervention tout à fait inopérant.

En quoi une AEMO peut-elle favoriser la « triangulation » comme le prétend l’expert ?

D’autant que depuis sa naissance la dite triangulation existe puisque, s’il est vrai que l’enfant « exclut le père de cette constellation », la famille de mon fils Miguel est composée de sa mère, lui et sa marraine. 
Marraine qui n’est autre que l’amie de vielle date de sa mère. Le père de la marraine ayant le grade de colonel dans l’armée, c’est cet avenir militaire auquel on a fait rêver un tout petit enfant… 
L'enfant avait trois ans que la responsable du Point Rencontre , s'était sentie obligé d'intervenir pour expliquer qu'il n'avait pas était fait par sa mère , sa grand-mère et sa marraine comme il le clamé mais par sa mère et son père … 
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Suite a l'impossibilité d'établir le contacte avec mon fils au Point Rencontre , des faits étant constatés par le personnel , la responsable a eu un long entretient privé avec Miguel. 
Je vous livre la conclusion  qu'elle a tiré : "Miguel est verrouillé" . 
Pour des raisons qui tiennent au fait qu'elle est salariée du Point Rencontre, en se interdisant de parler "d'aliénation parentale", que fut son premier ressentie exprimé , elle n'ont plus ne peut pas nommer un chat  un chat. La corde raide de la précarité de l'emploi est au détriment  de pas mal de choses. 
Voila qu'on invoqué un "diagnostique médicale" alors que le DSM 5  toute en détaillant comme pathologiques les éléments principaux le dit Manuel de Diagnostique s'interdit d'inclure l'aliénation parentale comme faisant partie d'une pathologie médicale . Peut être avec raison,  puisque par le faits que dans le processus alienation englobe ,  il existe l'intervention d'autres participants que le parent aliénant ; a savoir avocats , experts , charlatans ayant un diplôme en psychologie et psychiatrie , juges … bref, comme phénomène  l'aliénation parentale est d'avantage un problème sociale que un syndrome médicale. (1) 
Bref… si n'importe quelle observateur peut déterminer qu'on enfant est captif d'une parent malveillant en disant qu'on lui "bourre la tête " , les responsables y font de manières pur nommer les choses par leur nom 

Comme il vous est impossible de saisir ou de ressentir la réalité de la vie de cet enfant, mon fils, les juges d’appel et vous-même avez suivi aveuglément l’avis de l’expert qui prétend donner un père à cet enfant grâce à l’intervention magique d’une « tierce personne » salariée d’une association.
L’AEMO a été ordonnée sans mon consentement et avec mon désaccord.

J’ai bien écrit MAGIQUE, Monsieur le juge.

Magique, parce qu’aucun entretien, aucun bavardage, ne fera plier une personnalité ancrée dans le « déni » et dans le « faux-self ».

Magique, parce qu’un enfant soumis depuis sa naissance et 24 heures sur 24 à une pression malsaine ne pourra en aucun cas se défaire de cette emprise par la grâce de quelques contactes avec un éducateur .

Magique,  puisque depuis que vous avez institué la mesure d’assistance éducative après l’audience du 28 novembre 2015, je n’ai pas encore été contacté par cet organisme ; une telle parcimonie nous renseigne sur ses possibilités pour remplir la tache titanesque que vous leur avez confiés. 

A part faire ronronner un vieux conflit et plonger l'enfant dans une détresse cent fois rappelé a sa memoire ,  une AEMO ne peut rien face à une mère manipulatrice et à une situation ayant arrivée à un tel point de conflictuabilité . Avant même que la structure devant mettre en place l’AEMO ne prenne contact avec la mère, cette dernière a déjà peaufiné sa parade.

Si la personne qui m’en a informé ne se trompe pas, Madame X a été contactée par l’association avant les vacances de février afin de voir Miguel. En prétextant des impossibilités, la mère a repoussé le rendez-vous afin que Miguel puisse rejeter son père devant les personnels du Point de Rencontre ARAMIS.

Bref… avec ou sans AEMO les manipulations continueront.

L’expert Tony ARPIN affirme que je me fais de fausses idées sur mon fils. Il a raison, l’enfant que j’ai retrouvé trois ans après à la sortie de l’audience et pendant 10 minutes au point de rencontre ARAMIS n’est plus l’enfant avec lequel j’ai passé des moments inoubliables.

Monsieur DE NEYERS, j'ajoute en copie  de la lettre que j’avais adressée à vos services au début de l’année 2012 que j'avais  porté a la connaissance du Juge HOUÉE et à la suite de laquelle vous n’avez rien fait et lui n'avait tenu aucun cas 
---

Par son comportement, c’est la mère qui a détruit la base de tout lien heureux : la confiance entre le fils et son père.
Depuis bien longtemps, par son fonctionnement, la justice n’a fait que contribuer au travail aliénant de la mère. Votre décision y participe

Je ne vois plus aucun moyen de venir en aide à mon fils.

Pour que le « lien » entre un parent et son enfant puisse être bénéfique pour l’enfant, la confiance est indispensable : par les différentes décisions et le comportement de la mère, la confiance entre mon fils et moi n’existe plus.

Tant qu’on laisse un enfant entre les griffes d’une mère hautement toxique, cet enfant n’aura pas de père. 

Au mieux, mon fils à devant lui de longues années de psychothérapie, a condition qu'il échappe au charlatanisme si habituelle dans cette profession ,  jusqu’à ce qu’il puisse reconstruire un psychisme abîmé.

Dans tout les cas on a amputé a ce enfant la possibilité d'avoir la bienveillance de l'amour d'un père.

La responsabilité de la mère est grande, mais celle des juges étant intervenus dans ce qui n’est pour eux qu’un dossier de plus n’est pas moindre.

Pour ma part j'en fait davantage que le rol d'un père symbolique auquel les institutions judiciaires m'en ont réduit.

J'ignore ce que je pourrait faire pour ce enfant dans l'avenir , dans tous les cas je ne conformerais pas a des solutions qui ne tiennent pas compte du passé 


Étant donné la situation actuelle, je n’ai plus aucun autre moyen de venir en aide à mon fils que de dénoncer sur la place publique l’aliénation de mon fils.
Avec cette assignation je voudrait que le publique soit mis en alerte  de comment par  le fonctionnement ordinaire de la Justice en France on prive un enfant de son père .

Jesus DE LA ARENA
















5- lettre au responsable AEMO de Miguel 










  


Au Responsable du secteur ADSEA (19/03/2015)




 (double au Juges des Enfants et au Point Rencontre ARAMIS  )



Monsieur , Madame , 
C'est en arrivent de mon voyage a Clermont Ferrand , où en désespoir de cause je décidé d'inaugurer une série d'actions afin de protester pour le sort que lui est réservé a mon fils Miguel, que  je trouve votre lettre dans ma boite a lettres.
Vous daté votre lettre du 13 mars 2015 alors que la cachet de la poste indique que vous l'avez posté le 19 mars , un bien trop long délais de réflexion pour poster une missive si nécessairement bien plate  
Dans votre lettre vous indiqué avoir "débuté votre intervention le 11 février 2015 auprès " de Miguel et sa mère alors que vous avez reçu "notification"  du Juge des Enfants le 3 /12/2014
Toujours est-il que trois jours plus tard , le 14 février, les éducateurs du Point Rencontre ARAMIS ont fournie une attestation indiquant que " Miguel a été présenté par sa mère mais , il a refusé de partir avec son père " 
Alors que les derniers expertises, 2008 et 2014,  autant que le pédopsychiatre en 2010  dissent bien que je ne suis en aucun cas un danger pour l'enfant. Alors que contrairement a ce que la mère a prétendue , je ni eu aucun comportement sexuellement répressible , que je ni frappe , ni jeté contre un mur , ni malmené que se soit en acte ou en parole, Miguel exprime une haine totalement incompressible, haine qu'il à doublé des dires donc la invraisemblance a ete détecte autant par le juge Houée que par le expert psychologique Tony TURPIN. 
Madame la mère au lieu de calmer, aplanir et rassurer comme le Juge Huée ( fin 2012 ) lui avait conseillé a mis a profit chaque nouveau délais que la justice lui a si aveuglement confère pour ne faire qu'exciter et pousser l'enfant contre son père . Cela ne pouvait pas être autrement puisque le actuel comportement de mon fils est le fruits de dix longues années de  manipulations de la mère. Sauf a être aveuglé par l'incompétence ou un sexisme outrancier , a la haine et "mensonges" de mon fils on trouve l'explication par un conflit interne donc les racines  sont le comportement maternelle. 
La douleur qu'on infligé a mon fils lui obligeant de s'affronter a son père autant que  les faux souvenir qu'on lui inculque pour ce faire sont tout à fait inhumains. 
La douleur de mon fils m'est insupportable et je n'entend pas l'alimenter en me plient a la cécité des Juges autant qu'aux agissements de la mère. 
La situation actuelle ne peut plus se démêler avec un simple aménagement de son actualité ordonné par les juges consistant a laisser l'enfant dans les griffes d'une mère manipulatrice. 
Il me semble que dans la formation d'éducateur vous n'ayez pas reçu le don de transformer une personnalité telle qu'elle se manifesté pendant dix ans et qui est assez bien décrite par l'expert Tony TURPIN. 
A la date d'aujourd'hui  je envoie une lettre a la mère , ainsi qu'a la directrice du Point de Rencontre ,  lui informant de ma décision de ne plus aller au Point de Rencontre pour trouver un enfant sous une emprise qui détruit l'équilibre psychologique de mon fils et qui a rendu notre relation père / fils impossible. 
Sache Madame que je ne me plierais plus a aucune décision que rassemble de près ou de loin a ce que la mère a proposé en 10 ans de procédure , ni a ce que les Juges ont décidé au mépris du bon sens que les faits auraient dicté  : Tant qu'on décidera de laisser mon fils sous l'emprise de la mère  je m'abstiendrais de voir Miguel. 
Madame,  je suis dans l'obligation de travailler pour pouvoir faire face aux sommes importantes que , depuis dix ans,   représentent les frais d'avocat et des voyages entre mon domicile et Clermont Ferrand , il s'agit de la raison pour laquelle je ne peut pas avoir la disponibilité voulu pour faire des aller retours incessants. Ni la disponibilité, ni l'argent nécessaire . Il est vraie que le Juge DE NEYERS ne pouvez pas ignorer un telle fait puisque je lui avait rappelé en Audience le mois de novembre 2014. 
Ceci dit je suis disposé a vous recevoir autant de fois et de temps qu'elle vous plaira. Que soit dit clairement, je ne refuse pas de vous rencontrer. Par ailleurs, vous pouvez me trouver prochainement devant le TGI dans ma prochaine grève de la faim au moment des prochaines vacances scolaires. Et aussi des la mi-mai où ma grève de la faim sera a durée illimité.   
Le fait que mes voyages sont minutés dans le temps je suis dans l'impossibilité de venir plus tôt ou partir plus tard que les jours où je serais présent devant le TGI du lundi 20 mars  au vendredi  24.
Vous trouverais ma position longuement développé et les explications qui la justifient dans la lettre ( pièce jointe ) que je envoyé au Juge des Enfants Monsieur De Naeyers le 19 mars 2015. 

Cordialement .



    6- UN PARENT DE TROP !

Pour empêcher les relations père/enfant, les fausses allégations de violences et d'abus sexuels sont l'arme employée  par les femmes aliénantes. S'appuyant  sur ces fausses allégations  les femmes aliénantes multiplient les infractions pénales en ne représentant pas les enfants aux pères 

En rentrant dans le jeu de ces femmes la, les Juges aliénants accentuent, par leurs décisions, les conséquences désastreuses pour les enfants. Dans les faits, ils facilitent , voir favorisent, l'aliénation parentale . 

Au pénal, les femmes aliénantes sont rarement poursuivies et encore moins condamnées. Quand elles le sont,  c'est,  soit d'une manière symbolique, soit d'une façon  bien inférieure aux peines supportées par les pères auteurs de semblables faits .






7-   PRECISIONS SUR  L'ALIENATION PARENTALE 

L'aliénation parentale se caractérise par la conjonction de 4 phénomènes majeurs

1
une multitude de récriminations et des manipulations à l'encontre du parent qu'on veut éloigner afin de créer un climat relationnel de séparation

2
Des fausses allégations devant les Juges aux Affaires Familiers, voir des plaintes devant la police
Les allégations principales sont de deux types : abus sexuels et violences à l'encontre de l'enfant

3
Empêchement du contact entre l'enfant et le parent par des Non Représentations d'Enfant


4
Si l'Aliénation Parentale est le fait des personnalités perturbés , ces trois phénomènes seraient impossibles sans le comportement coupable des Juges aux Affaires Familiers , sans la médiocrité et les préjugés idéologiques des ceux et celles qui se font payer pour faire des expertises psychologiques et des enquêtes sociales , sans la réelle impunité donnée par la Justice aux parents qui utilisent la Non Représentation d'Enfant comme moyen d'entrave et d'éloignement parentale.

Il s'ensuit un traumatisme psychologique pour l'enfant et pour le parent rejeté



En m'inspirant des phénomènes qui ont émaillé les 10 ans d'existence de mon fils Miguel je qualifie l'aliénation parentale comme étant        LE VIOL DE L'ÂME DES ENFANTS.













(1) Le rôle du psychiatre n'est pas de "psychiatriser" la vie",  de 

faire la chasse aux papillons en essayant de trouver des malades 

alors qu'en réalité il n'y en a que trop. On en arriverait à une 

irresponsabilité sociale de l'homme, la psychiatrie ne doit pas être 

un alibi pour l'absence de réponse sociale aux problèmes sociaux. La 

vie est une choses trop sérieuse pour la laisser seulement aux mains 

des psychiatres

Julian de Ajuriaguerra ( neuropsychiatre et psychoanaliste ) ,






8 - UN ENFANT EN DANGER , UN ENFANT SOLDAT , UN ENFANT A LA DERIVE 

(Mai 2015 , quelques jours devant le Palais de Justice ) 













Nous naissons faibles, nous avons besoin de force
Nous naissons dépourvus de tout, nous avons besoin d'assistance
Nous naissons stupides, nous avons besoin de jugement. 
Tout ce que nous n'avons pas à notre naissance et dont nous avons besoin étant grands, nous est donné par l'éducation. 
( J.J Rousseau Emile ou De l'Education )




Pour quoi une grève de la faim ?
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UN ENFANT A LA DERIVE , UN ENFANT EN DANGER , UN ENFANT SOLDAT .
Mon fils va bientôt avoir onze ans

Pour manipuler l'enfant et démontrer que je suis un mauvais père , sa mère lui a infligé un suivie psychologique depuis qu'il a eu deux ans et quatre mois

En 2008 elle a tente de démontrer que il avait subit des attouchements sexuels de ma part ; tentative contrecarré par une expertise et un pédopsychiatre

En 2011 elle a monté l'enfant contre moi prétextant des violences ; violences rejetés par un juge et un expertise

Les deux expertise et le pédopsychiatre en ont conclu que l'enfant n'était pas en danger avec moi

Mes droits de visite et hébergements ont toujours était confirmés autant devant les JAF que en APPEL

Apres plus de trois ans de Non Représentation d'Enfant , la mère a réussie a faire que je ne soit plus dans la vie de l'enfant ( fait corroboré par l'expertise ) ; plus grave encore elle a transformé l'enfant en un petit soldat inventant des faits qu'il ne se sont jamais produits .

Alors que la mère est tout a fait défaillante , au point que l'expert lui conseille un suivie psychologique, qu'il constate l'immaturité de l'enfant , alors que la mère a démontré son incapacité a s'amender et son besoin maladif de manipuler l'enfant , faisant fit des constats de l'expertise les juges en APPEL , maintiennent l'enfant chez la mère.

Elle a était condamné deux fois en correctionnelle et une décision d'APPEL est en attente pour le 6 juin 2015.

Le Juge des Enfants lui fait cadeau d'un délais supplémentaire d'un an pour parachever la manipulation de l'enfant .

Dans les faits , aucune possibilité de paternité n'est possible alors qu'il est patent , que absolument tout les intervenants (JAF , expert et psychologue ) tombent d'accord pour dire que il ni a eu aucune violence , mon fils est submergé et aveuglé par la haine envers moi 

L'enfant ne pourra jamais sans sortir tant qu'on confie la garde a une mère hautement défaillante et pathologique.

Voila pourquoi j'entame le 14 mai 2015 devant le TGI de Clermont-Ferrand une grève de la faim illimité.

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Hier 13 mai
Rendez vous au Tribunal de Riom (63)

La mère de mon fils avait fait APPEL à une décision de avril 2014 , elle avait était condamné à trois mois de prison avec sursis

Trois magistrats plus l'Avocat Général (représentante de l'Etat )

La présidente du tribunal appel la mère a la barre ; une première question un peu anodine . Puis une deuxième qui a donné le ton a plus d'une heure de débat , une question que aucun JAF ni le juge des enfants se posée , la question qui va au-delà des constats des expertises ,la question qui fait débat par tout dans les pays développés , la question que la présidente du tribunal pose a la mère fut :

" Madame X , est que vous avez entendu parler de l'aliénation parental ?"

Le reste des questions furent en rapport avec cette entrée en matière .

La présidente décortique les éléments qu'elle avait retenu comme probants d'une aliénation mais sans faire une référence explicite a l'aliénation parental.
Autant dire que la mère était défaite. Elle bafouille , elle mentez tellement mal que cela permettez a la Présidente s'enclencher avec une nouvelle question qui déstabilise Davantage la mère

A un moment je songé qu'elle allez se évanouir tellement la présidente appuyé la ou elle ne pouvait que se sentir mal .

Avec acharnement la Présidente cherché une pièce dans son dossier qu'elle voulait commenter... "Où elle est cette pièce ?" elle ne la trouve pas mais après quelques minutes on a senti qu'elle allez pas lâcher , elle tenez absolument à commenter la dite pièce .

"Ha ! Elle est la "!!
  ( Elle avait trouvez sa pièce ! )
Ils agissez rien que du procès-verbal que le JAF ( M. Houée ) avait produit suite à l'audition de Miguel ( à l'époque Miguel avait 7 ans et demi… ).

Madame la présidente a fait ressortir ce que le JAF ayant réalisé l'Audition a laisse de côté :

" madame votre fils parle toujours de coups mais il ne donne jamais des exemples , pouvez vous nous en donner des exemples ? , "

La mère ne s'attende à être soumise à un telle interrogatoire et encore moins a des questions aussi simples mais d'une totale pertinence .
Bien évidement ses réponses furent de plus en plus fumeuse à telle point qu'elle a commencé à s'adresser moi ( la présidente lui a demandé se s'adresser à elle ...), aussi elle est devenue évasive , en évoquent d'autres sujets ... A telle point que même son avocat lui a intimé a trois reprises de répondre à la question. (Madame la mère avait utilisé la même tactique au cours de la dernière expertise, l'expert ayant signalé le fait )

Nouvelle question :
         "Est que l'enfant arrive de chez son père avec des marques ? "

Apres une hésitation bien trop longue , la mère répond :
         " Par fois il arrivez avec quelques rougeurs "

L'entretient était plus en adéquation avec une Audition JAF que a ce qui doit être fait au pénal ...
Et c'est en faisant cette remarque que Madame l'Avocat Général rentre dans l'arène ...

Elle commence par affirmer  que c'est bien malgré elle qu'elle allez continuer dans le même sens que Présidente du tribunal ( en fait ils agissez de rappeler qu'elle la mère était la pour ne pas avoir présenté l'enfant et que il s'agisse de faire appliquer la Loi et non pas refaire une énième résolution JAF )
Tout au long de son intervention Madame l'Avocat Générale n'a pas pu retenir l'animosité (il me semble … )  que le comportement de la mère lui inspiré ; elle a commencé son intervention avec la lecture de la partie de l'expertise 2014 où l'expert T. ARPIN décrit un enfant à la dérive . Elle a fait cela pour illustrer les répercussions sur l'enfant de trois années de non représentation d'enfant.

Il s'en est suivie la lecture de quelque buts de phrases que la mère avec dit à l'expert avec lesquelles madame l'Avocat Général voulait démontrer que Miguel était sous influence.

Question de Madame L'Avocat Générale :
   " madame puisque l'enfant a toujours était frappé par le père avez vous fait des constats médicaux "?....
Non la mère n'avait fait des constats ni porté plainte ...
( Plus tard je pourrais peut-être revenir sur plus de détails mais l'intervention de madame Avocate général fut très violent pour la mère )

Dernière question de l'Avocat général :

 " Madame est que vous pensé que votre enfant est sous votre influence ? "

Réponse de la mère :
  " je croie que c'est moi qui est sous l'influence de mon fils "

Et voila … une mère immature mais qui n'oublie pas de rendre responsable l'enfant des mensonges de la mère.  

Des moments fort longs pour la mère.

Si le Juge JAF Monsieur Houée , les Juge des Enfants auront "lue" le dossier de cette façon , on n'en serais pas là ! 
Décision de l'appel le 6 juin

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SIXIEME JOUR ( 19 mai )
Ce matin 19 mai vers 11h , alors qu'un petit groupe de 5 personnes lissait ma prose placardée , une femme m'a dit qu'elle avait quelque chose a me proposer en privé. ? . ? . Une fois en dehors du groupe elle se présentée.
...

Elle est la directrice de AEMO ordonné par le juge des enfants ...

Elle voulait qu'on se rencontre avec les éducateurs....
Par mémoire le AEMO a était décidé fin novembre ... 
Donc je lui est dit qu'elle pouvait tirer les conclusions sur ma position en lissant les documents et la lettre que je lui avait adressé. ( à lire dans mon blog )
Cinq mois après ils veulent me rencontrer...

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HUITIEME JOUR (21 mai ) 
+ matin

"Le plus courageux d'entre nous n'a que rarement le courage d'affirmer ce qu'il sait véritablement "( F Nietzsche
Dans ces moments un peu sensibles , plus les jours passant davantage mon enfant occupe mon esprit.

Il faut dire que cela a commencé il y a dix ans ...

Dans l'impossibilité que je me suis trouvé tout au long de ces 10 années de procédures d'enrayer la machine aliénante ma conduit a envisager une dernier tentative désespère pour que le juge des enfants révise son action . Et aussi pour marquer un fait donc ce enfant , un jour ou l'autre , aura besoin de se pencher quand à sa signification

Je n'ignore pas qu'un tel mouvement va a l'encontre des années d'action dans la toute puissance donc les juges mènent une vie d'une monotonie toute bureaucratique .

Toute puissance des juges sans contrôle aucun .

Toute puissance déterminant l'appétence a l'heure du choix professionnel tout comme la façon donc il leur est demandé de l'exercer .
Comme à l'immense majorité des juges , il lui sera impossible de réviser une décision si erroné consistant à laisser un enfant sous emprise a la merci du parent aliénant
En ce moment ce qui est en jeu , pour la justice , ce n'est pas le bien d'un enfant ( ce n'est jamais le cas ) mais le respect docile et intransigeant d'une décision de la Court d'Appel .

La servilité étant la base de l'édifice des valeurs donc dépend la pérennité du Capharnaüm social avec lequel l'Etat tire la justification d'existence .
Le fameux "erreur judiciaire " avec lequel l'institution aime se justifier devant le citoyen fait partie intégrante de l'accomplissement adéquat de sa tâche principal : domestiquer l'individu .

Le citoyen , sachant qu'il ne peut rien face au "pot de fer" , il doit intégrer au plus profond de lui même que toute contestation est vaine
Au vue des moyens donc l'état met à la disposition de l'institution judiciaire, "l'injustice" est aussi fatale que inexorable ; elle est de plus intrinsèquement utile pour incruster la soumission chez le citoyen.

L'injustice comme fatalité est distribué sans retenu. 

Pour réaliser le constat rien de telle que quelques jours passés à écouter les passants devant un TGI
: concernant les injustices JAF , on peut recueillir des témoignages sans fin.

On peut se poser la question si les juges ne le deviennent que pour laisser libre cours à leur sadisme . Un peu comme s'ils auront arrêté leur développement psychologique au moment où , petits, ils fracassent leur jouets et jettent de l'eau bouillante sur la tête du chat endormie.
En ce qui concerne les JAF , peut-on dire qu'ils jouissent en imposent dans la chère des pères leurs préjugés et leur sexisme ?
Dans une de multiples discussion autour de mes panneaux , une femme affirmée : " dans trois quarts de cas , quand une femme le veux , les juges acceptent ce qu'elle décide" . 

L'erreur statistique ( il s'agit de au moins 80%) n'annule pas la saine intention de notre interlocutrice
Convient de temps va durer ma grève de la faim ?
J'en sait foutre rien !
Je laisserai la décision à mon organisme .

_

Le matin du huitième jour j'avais répondu a une question que je me pose moi même en disant que ma grève de la faim allez durer autant que mon organisme le permettre.
Mon fils, l'enfant Miguel ,  est dans un sinistre impasse , je ne peut rien d'autre pour lui que dans une opposition radical a ceux qui ont tissé la toile de l'aliénation.
Qui recule devant l'obstacle ne mérite rien. Qui pense en perdant et en battu seul la trique s'abattra sur lui. La nature de l'obstacle nous permet de nous confronter a nous même.
Miguel , ce enfant que va bientôt faire onze ans,  à un avenir donc je suis responsable. 
Pour lui je ne pouvait faire autre chose que me mettre dans la gueule du loup.
Ma détermination venez du fait que je n'avais d'autre choix que faire ce que j'avais initie des que je connu l'existence de mon fils Miguel : avec mes capacités venir a son aide.
Sans inquiétude particulier mes journées devant le TGI se passaient bien , discutant avec les passant que cherchent le  dialogue . Des amis mon proposé de loger chez eux . Le besoin de repos et de réflexion prescrivait  l'isolement d'une chambre d'hôtel. Se concentrer et sentir son corps exige l'isolement .
Dix heures de sommeil me permettent un réveil euphorique. En aucun moment j'ai douté . Mieux… au début de chaque journée j'envisage d'aller plus loin. 
Néanmoins la conscience de l'impasse et ses conséquences étaient présentes des que , telle la chute d'un toboggan , la faiblesse vous engourdie. Tous les jours , entre 15h et 18 h étaient les moments où le doute me  envoyé  des images peu flatteuses sur moi même. Ma faiblesse réanimé la certitude de ma stupidité . 
Au matin du huitième jour  ma détermination resté intacte  . 
Aller loin . 
Aussi loin que ce que le raisonnable permettrait . 
Est que a un moment donné je serais capable de savoir arrêter ?  
Dans ces moments critiques on peut se faire aspirer par impossibilité  de jugement et par la pression des êtres qui vous aiment .
… 
jeudi vers 15 h , Monsieur Le Procureur m'a demandé d'aller le voir dans son bureau.
Rappelez-vous , le samedi précèdent , il était venu me voir . Quelques mois plus tôt ce monsieur  avait tenu parole; Par son intervention , la mère de mon fils avait passe en correctionnel par trois fois . La dernière fois  c'est menottes au point qu'elle avait était entendu par la police et tenu en Garde a vue. 
Le lundi précèdent une femme qui était victime de la violence et de harcèlement d'un ancien compagnon m'avait fait part de comme le Procureur , Monsieur Sennes , avez traité son cas  . Alors que l'agresseur passé en correctionnelle ce lundi , le Procureur avait donné a cette femme son numéro de portable personnel au cas où l'agresseur se manifeste le WE.  
Monsieur le Procureur , Pierre Sennes , est un homme de parole . 
Dossier sur son bureau il a fait le point de la situation. Le constat de l'impasse , ainsi que la demande de Préfet pour me faire dégager.  Ma lettre au Juge des Enfants (voir plus bas dans le blog )  y figuré dans la pile.
Sans être spectaculaire mon action attiré l'attention et la sympathie de la population clermontoise. Il ne ignore pas que si on me fait dégager par la force , je ne pouvait que continuer dans ma démarche et que de plus mon action prenez un autre élan.
Ni la Montagne ni FR3 Auvergne ont voulu se déplacer. C'est peut etre mieux . 
Honte a ce journalisme.
Par mon dossier et mon attitude je posé un vraie problème aux autorités et aux juges. 
Puisque toutes les décisions étaient en ma faveur le résultat c'est que on se trouve avec un enfant dans la haine et l'impossibilité de rencontrer son père, c'est la preuve que ces décision là leur manque quelque chose … . C'est qui leur manque c'est L'INTERET DE L'ENFANT.
Puisque je affirmé qu'il existé alienation , Monsieur le Procureur a fait la promesse  de demander au Juge des Enfants de nommer une nouvelle expertise psychiatrique avec l'objectif précis de dire si oui ou non il existe alienation parental . 
Je ne pouvait pas demander mieux. J'aurai même moi même, ni  osé ni imaginer de faire moi même une telle demande. 
Apres une bonne heure de discussion , où je pu constater a quel point le Procureur était dans une démarche d'humanité, il a pris le téléphone et a appelé le cabinet de mon avocat.
Il m'a proposé deux réunions pour  le lendemain matin ; avec le Procureur et l'après-midi avec la Directrice et l'éducatrice qui s'occupe de AEMO de mon fils.
En sortent du Palais j'ai téléphoné au cabinet de mes avocats : 
"Monsieur De La Arena demain vous aurez la compagnie de vos DEUX avocats " 
Ils ont tous les deux dédié leur vendredi matin et après-midi a me venir en aide. Je ne leur avait rien demande , c'est de leur initiative qu'ils ont venue ensemble . 
Ma grève de la faim n'avait plus aucun sens . 
Avec mon copain David je pris une seule et unique bière qui à faillie me soûler. Contrariant les recommandations médicales qui indiquent qu`il ne faut pas trop manger après un jeune si prolongé on est allez au restaurant. L'euphorie aidant … au milieu du repas je fait un halte puisque l'envie de vomir devenez assez désagréable … Il fallait quad même pas imposer au personnel de ramasser par terre ce que le cuisinier avez si magiquement élaboré en cuisine… bref la nuit a était courte.

Matin du vendredi 
Le jour d'après,  avant de rentrer chez le Procureur avec mes avocats , on a échangé quelques mots : La dernière expertise datant d'un an et demie , le "piège" consiste en un expertise bidon , une expertise que reste a mi-chemin comme les autres expertise. 
Par pure sexisme,  ils constatèrent ce qui n'est pas être nié  mais par sexisme laissèrent l'enfant chez la mère. 
Puisque je ne pouvait même pas suivre le fil des échanges,  dans la réunion je ne pu que laisser la parole a mes avocats.
Mes avocats ne défendent pas un dossier , ils étaient dans l'empathie envers moi. 
Emouvant . 
A tour de rôle chacun apporté sa précision ; parfois Madame Maître T …… cité telle ou telle phrase du dossier avec une telle précision qu'il me semble qu'elle allez signaler les virgules . 
Etonnant et émouvant .
Etonnant et émouvant  la manière où Maître Audrey Tovornik et Maître Sébastien Rahon ont pris en main ma défense. ( http://www.rahon-avocats.fr/ )
A un moment donné Maître Rahon a dit au Procureur : "Monsieur DE LA ARENA n'est pas responsable de la situation , les responsables c'est nous , la société". 
Par la manière où il se comporté avec moi , par ses phrases a double sens où il réclamé de moi un décryptage intelligent,  j'en suis sur que le Procureur en est convaincu .
Toute proportion gardé , j'oserais dire que mes avocats, Maître Tovornik et Maître Rahon ,  ne défendent pas un client mais un ami. Tout au moins ils se sont comporté comme j'aurai aimé qu'un ami ou un membre de la famille se comporte avec moi dans un tel cas.
Maître Rahon a expliqué les problèmes de l'expertise … et demandez que s'il y a expertise psychologique de la "famille"  qu'on fasse appel a un expert spécialiste dans le "syndrome" de l'aliénation parental . 
Monsieur le Procureur a compris la demande et pris note . 

Monsieur le Procureur va donc demander au Juge des Enfants Monsieur De Naeyers  (lire ma lettre ouverte a M. De Naeyers ) de convoquer une nouvelle expertise qui aura pour mission déterminer si oui ou non il existe alienation  

vendredi 14h 30 : réunion avec les responsables AEMO 

Sauf a un moment où j'ai eu un passage a vide , ma presence fut plus alerte. Mes avocats ont eu le même comportement. Sans eux j'aurai quand même tapé sur un mur puisque je m'aurai affronté aux éducateurs tellement je suis offusque par le fait que depuis qu'ils ont reçu la mission ils n'avaient pas contacté comme il se doit.
Je suis contre cette décision puisque elle ne peut que conforter , en faisant perdurer le séjour chez sa mère ,  l'aliénation de l'enfant. Leur action pourra "atténuer" la douleur de l'enfant, sûrement pas réparer ce qui a était détruit. Elle pourrait aboutir a un fictive rapprochement entre lui et son père , mais il sera un rapprochement téléguidé par la mère.  La mère a tout intérêt a passer a un mode "je collabore avec l'AEMO " tout en continuant a saper l'enfant. Manipulatrice comme elle est , les éducateurs ne verront que du feu. Dans deux ans l'aliénation de l'enfant sera encore plus profonde 
Vous comprenez bien que je ne pas à  rendre publique ce qui se dit dans cette réunion. 
Tant que l'enfant reste dans un conteste aliénant , je m'opposerai  a une telle démarche éducative. Je leur est indiqué que je ne collaborerais pas a l'AEMO.

Je doit libérer ce enfant de la pression que lui est infligé par sa mère des sa plus tendre enfance a chaque rencontre avec son père . 
Puisque les juges sont incapables de prendre une décision en adéquation avec les besoins , et que mon insistance devient une entrave et source de souffrance, il m'appartient de me retirer de sa vie. 
Ce calme indispensable pour son équilibre va peut-être  lui permettre de prendre de l'aire pour lui permettre plus tard de comprendre. 

Malgré mon absence , je serais profondément dans sa vie. 
Des qu'une louer d'espoir se présente , et si je suis encore en vie ( j'ai 67 ans … )  , ce enfant retrouvera son père 
Tant qu'au quotidien il sera sous emprise, mon absence lui sera bien plus bénéfique que ma  presence. 

Quelque soit la responsabilités d'une  mère hautement perturbé  , du moment que les juges ont pris la liberté de mal juger la responsabilité des troubles futures de l'enfant Miguel appartient intégralement aux juges.  
Elle appartient aussi aux deux expertises que tout en constatant des faits indéniables ont expertisé avec le prisme du sexisme ce qui a conduit a des propositions  sexistes qui vont  contre le bien de l'enfant.  
Il appartient aux juges de faire le nécessaire pour libérer ce enfant d'une mère aliénante afin  que l'enfant puise trouver sa personnalité et son "libre arbitre" . 


















"Quand le mensonge prend l'ascenseur,

la vérité prend l'escalier...!

Mais elle finit toujours par arriver.

"Toute vérité franchit trois étapes:

d'abord, elle est ridiculisée,

ensuite, elle subit une forte opposition

puis elle est considérée comme ayant toujours été une évidence"


[Arthur Schopenhauer 1788-1860]

















3-Communiqués SOS PAPA






Bonjour,

Monsieur Jesus de la ARENA , infirmier libéral, est à nouveau contraint de cesser son travail et de traverser la France pour venir faire une 4 ème grève de la faim devant le TGI de Clermont-Ferrand, afin de protester contre l'immobilisme des autorités : il annonce 5 jours de jeûne qui ont commencé ce matin (voir photo : http://www.filinfo-p.fr/data/20150323_IMG_0235.JPG), qui seront suivi d'une action identique en Avril, puis en Mai, retraite prise, d'une gréve de la faim illimitée.

En effet, malgré des jugements en sa faveur, et même une condamnation pénale (Non Représentation d' Enfant...mais "dispense de peine") de la mère qui le coupe totalement de son fils, M. de la ARENA n'a toujours pas pu revoir celui-ci depuis bientôt 4 ans.

A présent le fils de M.de la ARENA a eu le temps d' être "dressé" par sa mère pour déclarer que c'est lui-même qui ne veut pas voir son père . C'est le phénomène tristement courant d’Aliénation Parentale : est-ce vraiment dans "l'intérêt de l'enfant" ???

M.de la ARENA vient d'adresser une lettre ouverte au Juge pour Enfant (cf. Blog) qui récapitule les rouages de cet enchaînement dramatique.

SOS PAPA soutient M.de la ARENA dans son message , et souligne que ce genre de cas est traité de façon particulièrement laxiste quand l'auteure est le parent de sexe féminin, ce qui est une des maintes illustrations de la discrimination dont les pères sont systématiquement victimes en la matière. Il suffit par exemple aux mères de s'opposer à l'égalité d'hébergement (résidence alternée) pour être exhaussées par les juges aux affaires familiales :http://www.psychologies.com/.../SOS-Papa-pour-des-parents...



Jean LATIZEAU : 06 89 05 78 74 (président de SOS PAPA)



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Comme il l'a annoncé, Monsieur Jesus de la ARENA , suspend à nouveau son activité d' infirmier libéral et traverse la France pour venir faire une 5 ème grève de la faim devant le TGI de Clermont-Ferrand, afin de protester contre l'immobilisme des autorités : il annonce 5 jours de jeûne qui vont commencer lundi matin 20 avril (voir photo de l'action précédente : http://www.filinfo-p.fr/data/20150323_IMG_0235.JPG) . Il a prévu en Mai, retraite prise, d'une gréve de la faim illimitée.


En effet, malgré des jugements en sa faveur, et même une condamnation pénale (Non Représentation d' Enfant...mais "dispense de peine") de la mère qui le coupe totalement de son fils, M. de la ARENA n'a toujours pas pu revoir celui-ci depuis bientôt 4 ans.


A présent le fils de M.de la ARENA a eu le temps d' être "dressé" par sa mère pour déclarer que c'est lui-même qui ne veut pas voir son père . C'est le phénomène tristement courant d’Aliénation Parentale : est-ce vraiment dans "l'intérêt de l'enfant" ???


Ce phénomène vient d'être dénoncé par la Députée Bérengère POLETTI (Ardennes) auprès de Mesdames les ministres de la Justice et de la Santé/Famille :
http://questions.assemblee-nationale.fr/q14/14-77914QE.htm


M.Rémi DELATTE, Député de la Côte d'Or, vient aussi de s'étonner en commission à l'Assemblé Nationale, que cette grave question n' ai toujours pas été intégrée à la proposition de loi Protection de l'Enfance.


M.de la ARENA a récemment adressé une lettre ouverte au Juge pour Enfant (cf. Blog) qui récapitule les rouages de cet enchaînement dramatique.


SOS PAPA soutient M.de la ARENA dans son message , et souligne que ce genre de cas est traité de façon particulièrement laxiste quand l'auteure est le parent de sexe féminin, ce qui est une des maintes illustrations de la discrimination dont les pères sont systématiquement victimes en la matière. Il suffit par exemple aux mères de s'opposer à l'égalité d'hébergement (résidence alternée) pour être exhaussées par les juges aux affaires familiales : http://www.psychologies.com/…/SOS-Papa-pour-des-parents-ega…


CONTACTS :
Jean LATIZEAU : 06 89 05 78 74 (président de SOS PAPA)









4-Intervention au Journal LA MONTAGNE de l"avocat de la mère 

Journal LA MONTAGNE





http://www.lamontagne.fr/auvergne/actualite/2015/03/26/un-pere-en-greve-de-la-faim-devant-le-palais-de-justice-il-est-seul-responsable-de-la-situation_11380319.html



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Un homme a entamé, depuis lundi, une grève de la faim devant le palais de justice pour « revoir son fils ». 
La mère de l’enfant, , "ne souhaite pas laisser dire n'importe quoi" et a réagi ce matin par la voix son avocat, Me Jean-François Canis : « Si ce père ne voit pas son fils depuis plusieurs années (quatre ans, avait indiqué le père lundi à La Montagne, NDLR), c’est surtout et en premier lieu parce que l’enfant a peur de lui parce que les premiers droits de visite dont il a bénéficié se sont mal déroulés. La justice a fait diligence puisque la mère a été condamnée et les droits de visite ont été maintenus, malgré les réticences de l’enfant. Une assistance éducative en milieu ouvert a été mise en place. Si le père ne voit pas son enfant actuellement c'est parce que des droits de visite ont été organisés en médiation, où la mère a présenté l’enfant, cela s’est à nouveau mal déroulé. Le père est seul responsable de la situation ».





http://www.lamontagne.fr/auvergne/actualite/2015/03/26/un-pere-en-greve-de-la-faim-devant-le-palais-de-justice-il-est-seul-responsable-de-la-situation_11380319.html





                 ---------------    4 A   ----------------



 le journal LA MONTAGNE ne m'ayant pas donné le droit de réponse  j'ajoute ici même quelques éléments de réponse    







Le 06.04.2015





Maître Canis, vous faites un communiqué, en 2015, auparavant, en 2013, je n'avais pas vu mon fils depuis trois ans entre 2011 et 2015 et 6 mois au cours de l'année 2008  , selon vous, la Justice fait diligence?


Je lis, la mère de l’enfant, , "ne souhaite pas laisser dire n'importe quoi" et a réagi ce matin par la voix son avocat, Me Jean-François Canis : "Si ce père ne voit pas son fils depuis plusieurs années , c’est surtout et en premier lieu parce que l’enfant a peur de lui parce que les premiers droits de visite dont il a bénéficié se sont mal déroulés." 


 La justice a fait diligence puisque la mère a été condamnée et les droits de visite ont été maintenus, malgré les réticences de l’enfant. Une assistance éducative en milieu ouvert a été mise en place. Si le père ne voit pas son enfant actuellement c'est parce que des droits de visite ont été organisés en médiation, où la mère a présenté l’enfant, cela s’est à nouveau mal déroulé. Le père est seul responsable de la situation ».


Sachez, Maitre, que, notre fils est né en 2004


Sa mère voulant faire un bébé toute seule, une fois enceinte, elle m'a rayé de la vie de mon fils 


Pour être père, j'ai du faire une assignation au JAF au mois de mai 2005.


Malgré l'opposition de sa  mère, la justice m'octroie un droit de visite et d’hébergement un week-end par mois et la moitié des vacances scolaires. 


Notre fils est enchanté d'avoir un père, lors des trop rares moments que nous passons ensemble, il apprend à nager, il fait de l'équitation,  a faire de velo Sa mère ne le suporte pas, elle refuse désormais de me laisser mon fils, elle m'invente père prédateur. Selon une double expertise (2008 et 2011), les faits qu'elle rapporte sont faux.





Maitre, vous dites que la justice fait diligence?


Le délit de non-représentation d'enfant, caractérisé par le fait de « refuser indûment de représenter un enfant mineur à la personne qui est en droit de le réclamer » est sanctionné par l'article 227-5 du Code Civil


QUELS SONT LES ÉLÉMENTS CONSTITUTIFS DE L’INFRACTION PÉNALE ?


Le délit de non représentation d’enfant est caractérisé par 3 éléments :


1° l'obligation de représenter l'enfant telle qu'elle est fixée dans une décision judiciaire exécutoire,


2° le caractère intentionnel du refus du parent de représenter un enfant mineur à la personne qui est en droit de le réclamer,


3° l'absence de justification du parent qui refuse.


La sanction peut être lourde car ces faits sont punis d'un emprisonnement d'1 mois à 1 an et de 15.000 €d'amende


Votre cliente est elle condamnée, Maître?


Non, c'est notre fils qui écope d'une AEMO!


Selon vous, l'AEMO est une avancée?                                                                                                                                                                                               Lorsqu'une intervention éducative ne peut atteindre l’objectif fixé, ni même débuter un travail sur cette question du lien père-fils, elle ne sert à rien.


J'ai conscience que la justice n'a que très rarement les clefs de ces situations qui relèvent plus de l'affectif et de pathologies du lien que du code civil, car la justice méconnaît globalement et/ou ne veut pas (n'a pas les moyens diront d'autres) connaître les comportements psychotiques, ni les mécanismes et stratégies mises en oeuvre par certaines personnalités mythomanes.


Pourtant, un enfant a deux parents. L'article 24-3 de la Charte des droits fondamentaux de l’Union Européenne, précise que : « Tout enfant a le droit d’entretenir régulièrement des relations personnelles et des contacts directs avec ses deux parents". Depuis que notre fils est né, sa mère imagine qu'elle seule a le droit d'élever notre fils. Mon fils n'a pas de père.





Je remercie Maitre Jean-Francois CANIS , avocat de la mère de mon fils pour son article dans la Montagne de m'apporter son soutien, en précisant que sa cliente a été "condamnée" à une AEMO


En effet, ce sont aux parents "déficients" à qui l'on propose "des  mesures d’aide (lorsqu'ils) sont confrontées à des difficultés freinant l’exercice de leurs responsabilités éducatives. Ce soutien passe par des lieux qui favorisent l’information et l’expression des familles. Des actions avec nos partenaires sont mises en place pour accompagner des parents dits déficients et leur permettre de développer leurs capacités éducatives, tout en soutenant l’enfant dans son évolution


Déficiente?


Une mère qui souhaite faire un bébé toute seule.                                                                                                                                                     


Une mère qui rempli la tête de notre fils, bébé, de sornettes, je serais un "voleur de bijoux"                                      


Une mère qui refuse de me confier notre fils en argumentant des fausses allégations   et considérées comme telles par deux expertise , et par un JAF                                                                                                                                                                                                         Une mère, coupable, à multiples reprises de non présentation d'enfants


Déficiente?


Assurément, selon les premiers rapports d'experts,  selon le dernier expertise et les Juges d'APPEL elle doit se faire suivre par aide psychologique 


Comment aider notre fils?


A avoir une vie normale, il faut : "Permettre à l’enfant d’accéder,dans sa famille et avec l’aide de celle-ci, à une vie d’adulte, autonome, libre et responsable"



Déficiente?


Qui donc emploie ce terme, Maître?


Un spécialiste de l'Enfance et de la Famille, Fabien Thiémé


Son témoignage peut être lu, en suivant ce lien




Je reproduit son article dans son intégralité. Nord le Département :


« Accéder à une vie d’adulte libre et responsable»


Comment le Département accompagne-t-il les parents et futurs parents ?


Les familles auxquelles les services du Département proposent des mesures d’aide sont confrontées à des difficultés freinant l’exercice de leurs responsabilités éducatives. Ce soutien passe par des lieux qui favorisent l’information et l’expression des familles. Des actions avec nos partenaires sont mises en place pour accompagner des parents dits déficients et leur permettre de développer leurs capacités éducatives, tout en soutenant l’enfant dans son évolution, et en favorisant son maintien à domicile.


Ces actions sont-elles ouvertes à tous ?


Oui, elles ont ouvertes à tous. De manière plus générale,la politique Enfance vise à promouvoir des actions de solidarité envers les personnes en difficulté en recherchant les conditions de leur autonomie. Permettre à l’enfant d’accéder, dans sa famille et avec l’aide de celle-ci, à une vie d’adulte, autonome, libre et responsable, est un enjeu prioritaire


Fabien Thiémé                                                                                                                                                                                                                                vice-président du Conseil général chargé de l’Enfance, de la Famille et de la Jeunesse



















NOTE DE LIAISON DE POINT RENCONTRE ARAMIS (8/10/2015)



Monsieur DE NAYER 
Juge deg Enfants 
inconnu.jpg
TGI de Clermont Ferrand 16 Place de l'Etoite 
63100 Clermont Ferrand 
Clermont•Ferrand» te 08 octobre 2015 
NgzBéf. : ABAS inconnu_1.jpgpossier_:  DE LA ARENA 
Décision  
d'Appel de Riom du 22/07/214 
Monsieur le Juge, 
Nous tenons à porter à votre connaissance des éléments importants et inquiétants concernant la situation de l'enfant Miguel  âgé de II ans, pour laquelle vous êtes saisi au titre de l'Assistance Educative.

Notre service Point Rencontre est désigné sur décision de justice depuis plusieurs années (1 ère décision JAF en 2006), actuellement sur décision de la Cour d'Appel rendue te 22/07/2014 

Point Rencontre ARAMIS a depuis 9 ans pour mission d'organiser et d'accompagner les passages de Miguel, de sa mère à son père. 

Les passages ont toujours été problématiques mais Miguel, plus jeune, acceptait de partir avec son père et nous observons qu'au fil des mois et des années, l'enfant s'est complètement « verrouillé », Miguel exprime en notre présence une souffrance importante, il pleure et sanglote lorsque nous abordons la question du père. 

Au moment des passages, Miguel arrive « collé » à sa mère, « raide comme une barre » disent certains professionnels. 

l„orsque naus essayons de comprendre les raisons de son blocage, Miguel exprime un rejet massif de voir son père sans que nous ne parvenions à saisir les raisons Objectives qui pourraient expliquer un tel rejet. 

Miguel en dehors de la présence maternelle, relaye et colle complètement au discours de sa mère. la relation mènz-enfant. sembte très fusionnelle. 

En 2006, Monsieur DE LA ARENA a expliqué dès le premter entretien préalable avec notre structure. qu'il se sentait déjà évincé de 'a vie de "enfant. « dès la grossesse » dit-il.

Monsieur DE LA ARENA aurait souhaité que l'enfant porte son nom mais informé tardivement dit-il, il a reconnu l'enfant trop tardinconnu_2.jpg 

Au Point Rencontre, des difficultés sont apparues dès les premiers passages de l'enfant dans nos locaux, Miguel ne se séparait jamais facilement de sa mère, mais à ce moment-là, il n'avait que 4 ans et notre présence faisait encore « tiers ». 

Les passages n'étaient pas simples mais Miguel partait avec son père. 

Il convient d'interroger la position maternelle face aux difficultés, Madame X a d'ailleurs été condamnée pour non présentation d'enfant en fin d'année 2014. 

D'autre part, il semblerait que les inquiétudes que Madame  X aient pu avoir par le passé sur ce que vivait l'enfant chez son père ne se soient pas vérifiées ? 

II y a quelques années, Madame insinuait des attouchements sexuels du père sur l'enfant, quelques années plus tard, il e'agirait de maltraitance physique..inconnu_3.jpg 

Madame X dit que face aux paroles et aux plaintes de son fils, elle n'a pas présenté Miguel dans un souci de protection et pas dans l'idée d'évincer te père... 

Madame X a toujours dit aussi qu'elle essayait, de sa place, de préparer Miguel aux départs chez son père, mais pourquoi alors Miguel, n'a pas toujours été accompagné au service avec une valise alors qu'il est censé partir une semaine chez son père ? 

Madame X en présentant « physiquement » Miguel ne se soustrait pas à son obligation de le présenter mais l'enfant n'est visiblement jamais préparé à partir.inconnu_4.jpg 

Miguel parie de son père comme d'un père maltraitant...Ce qui est insupportable et insoutenable à entendre pour Monsieur DE LA ARENA, qui finit par être maladroit dans son approche avec Miguel. 

D'un autre côté, Monsieur DE LA ARENA est en procédure judiciaire depuis ta naissance de l'enfant pour exister auprès de lui,inconnu_5.jpg 

Au sein du service Point Rencontre ARAMIS, les professionnels présents accompagnent chaque semaine des enfants au milieu du conflit conjugal et parental souvent massif et violent. 

Dans la situation de Miguel. les difficultés ont toujours été présentes mais loin de s'être dissipées avec 'e temps et l'accompagnement, elles se sont complètement cristallisées. 

Depuis novembre 2012, Miguel a vu son père trois fois vingt minutes.... 

Si nous considérons qu'il est de l'intérêt de l'enfant de maintenir des contacts réguliers avec ses deux parents, seule une distance entre Madame X et Miguel permettra de réintroduire le père auprès de l'enfant, avec des droits de visite entièrement médiatisés pour chacun des parents. 

Une solution temporaire de placement est loin d'être idéale et peut-être n'est-elle pas compatible avec la personnalité de l'enfant, nous vous laissons donc apprécier la suite à donner à cette situation délicate. 
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Dans l'attente, recevez, Monsieur le Juge, l'expression de nos salutations distinguées. 
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Directrice Coorìlnatrice 
Lydie COPIER 



RAPPORT A.E.M.O. (25 / 10 / 2015)


inconnu.jpg Riom, le 25 octobre 2015. 
inconnu_1.jpg TRIBUNAL POUR ENFANTS 
Action Cabinet de : M. DE NAEYER Educative en 16 Place de l'Etoile 
inconnu_2.jpgCLERMONT-FERRAND 
inconnu_3.jpg
Ouvert 
A.G.B.F. 
refr S.G/S.V/2015.477 
RAPPORT A.E.M.O. 
OBTET : RAPPORT FIN DE MESURE 
FAMILLE : X
ADRESSES :  
Mme GRAU Eulaliainconnu_4.jpg 
- 22 rue du Port Royal.- 
63000 CLERMONT-FERRAND 

Mr DE LA ARENA Jésus 
- Maison Egunsenti-Quartier de la côte - 
  1. HASPERREN 
Jugement Initial de Fond 
: 28.11.14. 
Echéance de la mesure 
: 28.11.15. 
Enfant suivi : 
Miguel x né le  
Actlan Educative en Milieu Ouvert • A.G.B,ñ 
5. avenue Léonard de Vinci - La Pardieu 63000 Clermont-Ferrand • Tél. 04 73 40 08 08 Fax 04 73 28 34 13 
E-mail : aem063.adsea@wanRdeefr 
ResReader.ashx.png 
Association Départementale pour la Sauvegarde de l'Eúnce et de l'AdDlescence 
12, boulevard Pochct.Lagaye . Résidence deg Confisters • 63000 Clermone$errand 
inconnu_5.jpg 
Mèze : 
Mme X 
Mr DE LA ARENA 
Enfant suivi 
Miguel … né …/…04 
inconnu_6.jpg 
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ORIGINE DE LA MESURE 
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Le 22 juillet 2014, après de multiples procédures auprès du Juge aux Affaires Familiales, où la garde de Miguel et les droits de visites et d'hébergement de l'un et l'autre des parents évoluaient fréquemment, une saisine du Juge des Enfants par la Cour Appel reprenait la conclusion de l'expertise psychologique (effectuée en 2013 à la demande de la Cour d' Appel de Riom) où était préconisée la mise en place dune mesure éducative.

Le 25 juillet 2014, Mr DË LA ARENA saisissait Je Juge pour Enfants sollicitant qu'une mesure d' Assistance Educative en Milieu Ouvert soit instituée.

Le 9 août 2014, Monsieur Le Procureur de la République saisissait à son tout le Juge pour Enfants sur la base de l'expertise psychologique et de l'arrêt tendu par la Cour d' Appel.

Le 28 novembre 2014, lors de l'audience auprès du Juge pour enfants, est évoqué à l'audience le refus de Miguel de se rendre chez son père depuis plus de deux ans ; sa mère, Mme X fait alors l'objet dê poursuites pour non présentation d'enfant. 

inconnu_7.jpg 
Est ordonnée le même jour la mise en œuvre d'une mesure éditcative avec pour objectifs de « travailler sur la relation père•enfant, qui devrait passer par une normalisation de la relation parentale ».

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DEROULEMENT DE LA MESURE
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Nous rencontrons pour la première fois Miguel et Mme X, sa mère, le II février 2015. Nous découvrons un jeune garçon faisant preuve d'une facilité d'élocution certaine pour un enfant de 10 ans, et d'une apparence physique très soignée.

Miguel est au fait des raisons qui conduisent à la mise en œuvre de la mesure éducative. II sait les énoncer clairement. Il explique, non sans émotion, qu'il refuse de se rendre au domicile de son père, Mr DE LA ARENA il se plaint que ce dernier l'accueille dans un logement où sont présents des rats, il reproche à son père de ne pas tenir compte de ses goûts en l'obligeant à pratiquer des activités qu'il n'affectionne pas, et enfin, il l'accuse d'avoir été violent à son encontre durant l'été 2011 et déplore le fait que .Mr DE LA ARENA nie l'importance de ces actes. 

Cest à une amie de sa mère que Miguel a livré, il y a plus de trois ans les faits de violence qu'il dit avoir subis : il m'a mis une claque m'a poussé avec force contre un mur". Miguel nous explique qu'il attend que son pète reconnaisse ce qu'il lui a fait, que ce serait une première étape mais qu'it ne retournera pas pour autant chez lui.

Malgré son jeune âge, ce garçon tient des positions avec assurance et fermeté et semble laisser peu de place à la négociation. Cette posture est particulièrement visible lorsqu'il s'agit de son père.

Soumettre à Miguel que ses idées pourraient évoluer dans le temps, que celles des auttes, en l'occurrence de son père, peuvent êtres différentes des siennes, signifie pour lui que nous mettons en doute ses propos et que nous le traitons potentiellement de menteur.

Miguel est scolarisé, depuis cette rentrée de septembre, en classe de sixième au collège Blaise Pascal à Clermont-Ferrand, où il ne rencontre aucune difficulté. Vannée dernière et les précédentes, Miguel était scolarisé à l'école élémentaire Nestor Perret à Clermont-Ferrand, L'instituteur décrivait ce jeune garçon comme un excellent élève, très pertinent, intéressant et intéressé et ne rencontrant pas de difficultés dans ses relations avec ses pairs.

Miguel "se passionne" pour de nombreuses choses comme la lecture, le cinéma, les voitures de sport. Depuis la rentrée, il est "très heureux" de pratiquer de nouveau  l'escrime comme activité extra-scolaire.

Lors de nos rencontres, Miguel est un garçon jovial, bavard et qui prend plaisir à nous décrire sa vie quotidienne et ses centres d'intérêts.
Nous avons fait le choix de centrer notre accompagnement éducatif sur Miguel et sa vie d'enfant et de ne pas cristalliser notre intervention autour de la problématique familiale, afin de lui laisser un espace de parole le plus neutre possible. Cependant, dès qu'il a été question d'évoquer ponctuellement son père, leurs relations, c'est un enfant fermé, rigide qui nous apparait.

Lors de notre unique rencontre avec Mr DE LA ARENA nous avions proposé de faire, s'il le souhaitait, le lien entre son fils et lui-même. Monsieur nous a effectivement contacté la semaine suivante pour nous informer qu'il nous faisait parvenir, quelques semaines plus tard, des photos et une tablette tactile à destination de son fils. Nons lui avons donc remis au sein de notre service, lieu neutre où Miguel pouvait être libre de ses réactions.

Avant même d'ouvrir le colis, Miguel s'est physiquement crispé dès qu'il a compris sa provenance. Après avoir regardé les photos du coin de l'œil et la main tremblante, et après avoir découvert la tabletter il a explicitement et clairement dit qu'il ne souhaitait rien recevoir de son père et donc qu'il refusait le contenu de ce colis. Dans un état de grande tension, du temps a été nécessaire à Miguel pour qu'il retrouve son éloquence et son sourire habituel. 

Nous avons été en contact avec ARAMIS, lieu d'où devait s'effectuer, les premiers samedis de chaque vacance scolaire, le départ de Miguel pour le domicile de son père. Miguel refusant catégoriquement de partit, ces rencontres étaient sources d'angoisse et de violence tant pour les parents que pour leur fils. 
Mr DE LA ARENA, conscient de cela, a fait savoir, et ce depuis les vacances d'avril 2015, qu'il ne se rendrait plus à ces rendez-vous. Miguel rencontre, environ toutes les trois semaines, Mme TALBOT, psychologue. 

Elle décrit Miguel comme un enfant très intelligent, avec qui il est aisé dtéchanger. Alors qu'elle observait de l'agitation et de l'angoisse chez cet enfant, elle note, depuis plusieurs mois, une évolution positive dans le comportement de Miguel. 


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MADAME X 
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Lors du premier entretien, Madame nous a fait part de son soulagement face à la mise en place de la mesure éducative, percevant l'intervention d'un tiers comme bénéfique tant pour elle que pour Miguel. Si Mme X insiste sur le fait que son plus grand souhait serait que son fils ait une relation normalisée avec son père, elle maintient sa position : ne pas contraindre Miguel à rencontrer Mr DE LA ARENA et respecter son refus. M.rne X dit avoir été blessée face aux suspicions de manipulation qui ont pu lui être prêtées et qu'elle réfute, expliquant avoir « entendu » son fils et pris en compte ges propos. 
Madame nous expose sa propre lecture de l'histoire familiale, qui diffère grandement de celle exposée par le père. Elle se situe dans une position protectrice face à son fils. Mme Grau nous a laissé rencontrer Miguel comme nous le souhaitions et n'est pas intervenue quant au contenu de nos échanges.

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Mr DE LA ARENA
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Mme BOUTAREL, directrice du service AEMO et Mme LAUDET, chef de service, ont rencontré Mr DE LA ARENA le 19 jnin 2015. A cette date, il menait alors une action devant de Tribunal de Cleanont-Ferrand.

Monsieur se montre très affecté par la situation et a le sentiment de vivre une grande injustice pour laquelle il ne rencontre pas de soutien. J.I a pu nous faire savoir qu'il n'attendait pas d'aide d'un service d' AEMO qui selon lui, n'a pas compétence pour appréhender toute la problématique de la situation. 

A la suite de cette rencontre, nous avong été en contact à trois reprises avec Monsieur. Très en attente d'éléments nouveaux dans la procédure qui viendraient confirmer ses propos concernant la situation, il nous dit ne plus rien attendre néanmoins concernant une reprise de liens avec son enfant. 

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CONCLUSION
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Une discordance du discours parental est prédominante dans cette situation. 
Nous ne nous permettrons aucune interprétation du positionnement de chacun des parents, qui pourrait attiser un conflit déjà très prégnant et qui semble, à ce jour, insoluble, 
Miguel est un jeune garçon faisant preuve d'une personnalité singulière et affirmée, tout en étant emprunt d'une culture maternelle prégnante. 
Son souhait, à ce jour, de ne plus entretenir de relations avec son père est d'après lui définitif. Cette position, pour le moins extrême et radicale, nous semble néanmoins devoir être entendue, compte tenu des réactions que nous avons pu observer à l'évocation de son père. 
Cependant, il nous est apparu primordial d'expliquer à cet enfant que cette position pourra se modifier avec le temps et qu'il est important qu'il se laisse suffisamment de souplesse pour la faire évoluer. 
Nous n'obsewons pas de carences éducatives ou affectives au domicile maternel. 
L'accompagnement éducatif de Miguel pourrait lui permettre de se décaler de cette situation conflictuelle dont il est l'enjeu depuis toujours. Ce travail ne pourra s'inscrire que sur du long terme compte tenu du poids de l'histoire familiale.


Au regard de ces éléments et de la complexité de la situation familiale, nous ne sommes pas en mesure de nous prononcer sur le bien fondé de la poursuite de la 
mesure éducative.

S. GHESQUIERE S. BOUTAREL 
Educatrice Spécialisée / Directrice 





     - DIVERS -



ACALPA l'association contre l'aliénation parentale sur TV28 (extrait).


video :





-


Aliénation Parentale : La justice en non assistance à personne en danger !
video 


Le traitement judiciaire de l'aliénation parentale d'après Maître Pannier sur TV28 (extrait).

video 






NON REPRESENTATION D'ENFANT 



article 227-5 du Code Pénal : "Le fait de refuser indûment de représenter un enfant mineur à la personne qui a le droit de le réclamer est puni d'un an d'emprisonnement et de 15000 euros d'amende."

QUELS SONT LES ÉLÉMENTS CONSTITUTIFS DE L’INFRACTION PÉNALE ?
Le délit de non représentation d’enfant est caractérisé par 3 éléments :
1° l'obligation de représenter l'enfant telle qu'elle est fixée dans une décision judiciaire exécutoire,
2° le caractère intentionnel du refus du parent de représenter un enfant mineur à la personne qui est en droit de le réclamer,
3° l'absence de justification du parent qui refuse.
La sanction peut être lourde car ces faits sont punis d'un emprisonnement d'1 mois à 1 an et de 15.000 €d'amende.
Si le parent est déchu de l'autorité parentale, ces mêmes faits sont punis de 3 ans d'emprisonnement et de 45.000 €d'amende.



25.845 plaintes (2009) pour non représentation de l’enfant (NRE) (+ 43% sur 10 ans) 
qui donnent lieu à des poursuites dans 16.4% des cas dont 4.5% de condamnations (et 11,9% de médiations pénales) (source : ACALPA / statistiques du Ministère de l’Intérieur, 2010)






LIENS







http://affairesfamiliales.wordpress.com/

http://www.acalpa.org/






La Non Representation  d'Enfant  est  l'arme des parents aliénants 



L'application laxiste et l'absence de toute autre mesure contraignante , dissuasive ou préventive rend l'appareil judiciaire complice de la perte de lien entre les enfants et le parents.




BIENTOT prochainel’ARRET  rendu par la Cour d’APPEL qui confirme le jugement sur la culpabilité de Mme GRAU et ajournant sur la peine renvoie le dossier à l’audience du 16 décembre 2015 à  13 h 30